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Page du photographe
Adriane Ohanesian
Seul un arbre sacré est encore debout dans cette parcelle de forêt officiellement protégée, mais illégalement déboisée pour laisser place aux mines de saphirs à Madagascar. La forêt tropicale constitue un important habitat pour les lémuriens et d’autres espèces.
Un homme couvert de boue tient un morceau de jerrycan en plastique qu’il utilise pour ôter la boue et l’eau du trou d’une mine située dans le CAZ.
Bridola, un lémurien fauve (à gauche) et Roki, un vari noir et blanc, sont gardés comme animaux de compagnie et attachés à l’arrière d’un magasin et d’un restaurant près du village d’Ambodipaiso.
Des employés de Madagascar Biodiversity Partnership transportent des paniers contenant 25 jeunes pousses d’arbres chacun, qui seront plantées dans une zone déboisée en périphérie d’Ambolotara, à environ 65 kilomètres à l’est du parc national de Ranomafana.
Laurence Asma, responsable d'une mine, montre les pierres précieuses que son équipe composée d’une vingtaine d’hommes a découvert dans le Corridor Ankeniheny-Zahamena (CAZ).
La police de la ville d’Andasibe met sur pied une descente dans un village voisin afin d’arrêter des hommes suspectés d’actes de braconnage sur des lémuriens. Les suspects ont pris la fuite avant que les policiers ne puissent emprunter une moto pour atteindre le village, situé sur un chemin de terre.
Cette étoffe de tissu rouge, nouée autour d’un arbre sur le sentier menant au site d’extraction minière, signale un doany, site sacré où sont réalisés des sacrifices pour remercier le dieu Zanahary.
Un indri, le plus grand des lémuriens qui subsistent encore, s’agrippe à un arbre dans le parc national d’Andasibe-Mantadia. Les indris, qui vivent aussi dans la zone d’extraction des saphirs à 130 kilomètres au nord, sont en danger critique, en grande partie à cause de la réduction de leur habitat.
12 espèces de lémuriens vivent dans la canopée du parc national Ranomafana, dont une que l'on ne trouve qu'ici, l’hapalémur doré.
Un poisson cuit au-dessus des braises dans une petite cahute située à proximité des mines. L’utilisation du bois pour la construction des habitations et l’alimentation du feu contribue à la déforestation dans le CAZ, tandis que la fumée résultant des feux de cuisson est à l’origine de problèmes de santé.