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Page du photographe
Emin Özmen
Un homme fait ses courses au marché de Besiktas dans le centre d'Istanbul. Pour y pénétrer, les clients doivent désormais se prêter à un contrôle de température.
D'après des données publiées en 2018, il y aurait 162 970 chats errants pour 128 900 chiens dans les rues d'Istanbul. Depuis le début de la pandémie, la plupart de ces animaux n'ont pas assez de nourriture pour survivre, mais le gouvernement parvient à en nourrir une partie.
Près de la place Taksim, cette rue étroite est flanquée de restaurants meyhane, où les Istanbuliotes ont l'habitude de se rassembler pour partager des mezzés et prendre un verre de raki turc. Aujourd'hui, il n'est plus possible de s'asseoir dans ces différents lieux de restauration en raison de la pandémie.
Construite en 1890, la gare Sirkeci d'Istanbul était le terminus est du légendaire Orient Express. Aujourd'hui, elle sert également de station de métro, même si la pandémie a considérablement réduit la foule d'usagers.
Près de la place Taksim, un boulanger descend son masque le temps d'une pause cigarette.
Habituellement bondés, les restaurants et cafés d'Istanbul sont fermés depuis le 23 mars. Ne reste que les chats errants, symbole persistant de la ville, qui s'aventurent toujours dans ses rues.
Cette femme est assise devant son immeuble du quartier de Beyoglu. « Nous avons eu une longue conversation, » raconte le photographe Emin Özman, posté à trois ou quatre mètres pour prendre ce cliché. « Elle était tellement contente de parler avec quelqu'un après 50 jours passés seule chez elle. Ses enfants vont au marché pour elle, mais ils ne rentrent jamais dans l'appartement par crainte du virus. »
Les berges du Bosphore sont généralement fréquentées par une foule de promeneurs. Mais en ce jour de mars 2020, cet homme s'était assis seul pour fredonner un air triste.
Dans le quartier de Beyoglu, des résidents prennent le soleil à leur balcon.
Les restaurants d'Istanbul, comme celui-ci donnant sur l'estuaire de la Corne d'Or du Bosphore, sont désormais fermés et complètement vides. Le gouvernement turc a suspendu temporairement le service en salle des restaurants, des pâtisseries et des cafés pour faire face à la pandémie de COVID-19.