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Page du photographe
Esther Ruth Mbabazi
La forteresse de Hohensalzburg, le plus grand château intégralement préservé d'Europe Centrale, offre une vue à 360 degrés sur la ville de Salzbourg. « Avec la pandémie, je n'avais pas vu mon petit-ami depuis six mois. Lorsque l'Allemagne a autorisé les couples à se retrouver, nous avons pu nous revoir et nous sommes partis en Autriche, » raconte la photographe Ester Ruth Mbabazi. « Notre voyage s'est arrêté à Salzbourg à cause des restrictions liées à la COVID-19, mais nous voulions visiter Vienne. »
Les collets sont un outil simple mais efficace : lorsqu'un animal marche dans la boucle, elle se resserre sur ses pattes. Les animaux meurent généralement de faim, de déshydratation ou après avoir perdu beaucoup de sang.
Membres du programme Snares to Wares, Luhonda Peter et Sophia Jingo mesurent le diamètre d'un collet installé dans le parc de Murchison Falls. Avec l'appui de l'Uganda Wildlife Authority, ils multiplient les expéditions destinées à retirer les pièges posés dans ce parc qui constitue la plus vaste zone protégée du pays.
Cette sculpture de girafe pourrait bien être l'une des 800 pièces vendues chaque mois par le collectif. La plupart sont expédiées aux États-Unis où elles sont vendues entre 15 et 90 dollars (12 et 75 €).
Le ranger Odokonyero Christopher se tient à côté d'un collet installé dans le parc de Murchison Falls. Les braconniers posent d'innombrables pièges illégaux dans la région, principalement dans le but de tuer des antilopes ou d'autres herbivores pour leur viande.
Généralement, les braconniers installent leurs pièges dans le parc de Murchison Falls le matin et repassent le soir pour les relever. L'impact de la chasse au collet sur les populations de lions, de léopards et d'autres prédateurs inquiète grandement les écologistes.
Les profits issus de la vente d'une sculpture ont « un impact direct du côté ougandais, » indique Tutilo Mudumba, codirecteur de Snares to Wares. Les artisans reçoivent 100 % des bénéfices qu'ils génèrent et utilisent ce revenu pour subvenir à leurs besoins quotidiens, alimentaires ou médicaux.
Les artisans de Snares to Wares travaillent sur une sculpture de rhinocéros. Ils ont mis en place une chaîne d'assemblage pour garantir la continuité de la production. La plupart des sculptures demandent une à trois heures de travail.
À 25 ans, l'ex-braconnier Settler Charles (à gauche) a ouvert une vidéothèque grâce au salaire versé par Snares to Wares. Ses clients peuvent acheter des films ou de la musique téléchargée sur Internet. Amateur d'art, il a rejoint l'organisme pour s'assurer un revenu stable après avoir vu certains de ses amis être arrêtés pour braconnage.
Les employés de Snares to Wares trient les pièges stockés dans un bâtiment de l'Uganda Wildlife Authority où est stocké l'attirail des braconniers une fois retiré du parc. La majorité des collets sont fabriqués à partir du fil d'acier extrait des pneus à carcasse radiale.