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Kris Davidson

De la mousse espagnole et des fougères (Pleopeltis polypodioides) tombent d'un arbre sur cette photographie prise par un après-midi pluvieux sur l'île barrière de Sapelo, à une centaine de kilomètres au sud de Savannah, dans l'état de Géorgie. C'est sur cette île qu'ont élu domicile les Hog Hammock, l'une des dernières communautés Gullah, et de nombreux résidents de Sapelo peuvent remonter leur arbre généalogique jusqu'aux Africains de l'Ouest réduits à l'esclavage au 19e siècle.

Au cimetière de Chignahuapan, le jour de la fête des morts, les habitants rendent visite à leurs êtres chers disparus.

Le 2 novembre, jour de la fête des morts, la grand place de Chignahuapan est animée et bondée.

À Puebla, au restaurant Mural de los Poblanos, un client commande le plat saisonnier à base de mole appelé Huaxmole de Caderas, cuisiné uniquement en octobre/novembre à l'occasion de la fête des morts.

Une « ofrenda » (un autel) située dans le Barrio del Artista de Puebla, au Mexique. Chaque année, du 28 octobre au 2 novembre, de nombreuses institutions pueblanaises ainsi que des habitants ouvrent leurs portes aux visiteurs qui désirent contempler les autels érigés pour l'occasion et rendre hommage aux défunts.

Une « ofrenda » (un autel) en l'honneur de la « cultura choluteca », au Museo Tecnológico de Monterrey, à Puebla.

Un cimetière de Magdalena de Yancuiltlalpan, petit village de l'État de Puebla, le jour de la fête des morts (le 2 novembre), à l'aube. Le volcan Popocatepetl apparaît au loin. La lueur des quelques bougies déposées la veille vacille, tandis que les tombes viennent d'être nettoyées et ornées de soucis pour l'arrivée des esprits.

Le fascinant « Festival de la luz y la vida » (festival des lumières et de la vie) se tient à Chignahuapan, élu « pueblo magico » (village magique). Une pièce de théâtre a lieu sur le lac de Chignahuapa et un spectacle de feux d'artifice conclut les célébrations de la fête des morts.

Devant une maison de Huaquechula, un chemin de pétales de soucis est déposé afin de guider les défunts jusqu'à l'autel (« ofrenda ») de leur foyer.

À Huaquechula, une famille disperse des pétales de soucis afin de mener les êtres chers disparus jusqu'à la maison.