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Page du photographe
Felipe Fittipaldi
Bancs de sable et colmatage sur le Rio Paraíba do Sul, près de la ville de Campos dos Goytacazes. L'accumulation de sédiments provoquée par les barrages affaiblit le débit du fleuve à l'approche du delta, ce qui le rend incapable de protéger Atafona des vagues de l'océan.
Une maison d'Atafona détruite par la mer.
Le paysage en ruines d'Atafona témoigne de la crise qui oppose l'Homme à la nature. Ses dunes dissimulent environ 400 édifices, parmi lesquels des habitations, des hôtels, une station essence et une église.
La lente marche de l'océan Atlantique entraîne des pertes existentielles à Atafona, une tragédie qui se répète à travers le monde avec l'accélération du changement climatique.
Les Kayapós, dans le bassin du fleuve Xingu dans la région centrale de l'Amazonie, peinent à préserver leurs traditions culturelles face aux influences du monde moderne. Ces derniers jours, les dirigeants de Kayapós ont négocié le retrait des mineurs d'or de leur territoire pour le temps de la pandémie. Ailleurs, les patrouilles de vigilance de Kayapós ont abattu des arbres pour bloquer les routes menant à leur réserve.
Les agents du Groupe spécialisé d'inspection de l'IBAMA détruisent un bulldozer utilisé dans des opérations minières illégales sur le territoire indigène de Roosevelt, dans l'état de Rondônia. Le président Jair Bolsonaro s'est engagé à légaliser la prospection minière sur les terres indigènes de l'Amazonie brésilienne, faisant craindre une possible destruction généralisée de l'environnement et une division au sein des communautés autochtones.
Un agent de l'IBAMA fait le guet dans une scierie de Boa Vista do Pacarana, dans l'état de Rondônia. En juillet 2019, les membres de cette agence de protection environnementale ont découvert des irrégularités généralisées dans les inventaires des scieries. Selon eux, la majorité du bois traité avait été abattu illégalement dans trois réserves indigènes voisines.