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Page du photographe
Jonas Kako
La Vjosa, fleuve albanais, est devenu il y a peu le premier « parc national fluvial » du monde, un statut qui empêche la construction de barrages ou l’exploitation minière, mais qui permet le tourisme. Les défenseurs de la cause environnementale se tournent désormais vers d’autres cours d’eau du monde qui pourraient se voir octroyer le même statut.
Petrit Canaj, dans ses champs près du village de Kuta. Si un barrage est érigé à Pocem, la plupart de ses terres seront inondées.
Ani Zekaj et Miri Merkaj traient des brebis près de Kuta. La présence d’un barrage signifierait pour eux la perte de leur gagne-pain, puisque les pâturages se verraient inondés.
Une partie de football se tient dans une école à Kuta. Si un barrage est construit à Pocem, le village de Kuta se trouvera au bord du lac artificiel, qui inondera les champs locaux.
Dona Tabacu est propriétaire d’un petit camping écologique avec son mari, Robert, près de Përmet. Elle participe activement à la lutte contre la construction du barrage.
Robert Tabacu est un guide de randonnée et un organisateur de circuits en rafting. En soirée, il part souvent pêcher avec son filet traditionnel. Si des barrages sont construits le long de la Vjosa, il craint de moins de touristes ne viennent visiter la région.
Un projet de construction de barrage mis sur pause à Kalivaç.
Miri Merkaj, 18 ans, est un jeune berger à Kuta, en Albanie. Si un barrage est construit à Pocem, sa famille perdra ses terres et un lac artificiel sera créé dans la vallée.
Une centrale hydroélectrique située dans le lit de la rivière Langarica, un des affluents de la Vjosa.
Le fleuve Vjosa, à la frontière entre l’Albanie et la Grèce.