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Sara Aliaga Ticona
Ces lézards, maintenus en vie dans une bouteille en plastique, ont été sacrifiés puis mélangés à des plantes dans le cadre d’un rite de guérison traditionnel réalisé dans la ville d’El Alto, en Bolivie, en juin 2023.
Sur ce cliché pris en juin 2022 dans la ville d’El Alto, Gumercindo Ticona Lipe exécute un rite de guérison pour son client ouvrier du bâtiment (celui-ci a souhaité garder l’anonymat), pour lequel il utilise des jararankos et d’autres ingrédients. Les guérisseurs (ou amautas) soignent des patients souffrant de polyarthrite rhumatoïde, de fractures ou encore de douleurs musculaires aigües.
Un mélange distillé de lézards et d’herbes est proposé à la vente sur un marché clandestin d’El Alto. La substance est à utiliser comme liniment sur les muscles douloureux ou à intégrer à des onguents.
De l’onguent à base de jararanko est proposé à la vente sur un marché de médecine naturelle.
C’est dans la haute vallée qui entoure La Paz qu’évolue le jararanko, entre 4 000 et 5 000 mètres d’altitude.
Des chefs spirituels et des praticiens de médecine parallèle s’arrêtent devant une fresque représentant la Terre nourricière à El Alto, deuxième ville de Bolivie, en juin 2023. Les passants y déposent des offrandes, comme de l’alcool et des feuilles de coca, pour témoigner du respect qu’ils éprouvent pour la nature.
Mélangé à des plantes et de l’encens, un cataplasme à base de jararanko (une espèce de saurien) est appliqué dans un premier temps sur la blessure d’un patient. Le lendemain, un onguent contenant du jararanko est appliqué sur le site jusqu’à disparition de la douleur.