72 heures au rythme effréné de Tokyo
Partez à la recherche de sushis secrets, de maîtres sumo et d'une rébellion de robots.

Prismes fantastiques : à Harajuku, le long d’une route qui mène au sanctuaire Meiji, une foule de clients se pressent au Tokyu Plaza.
Une femme costumée en chondara, clown traditionnel de l’île d’Okinawa, participe à l’un des festivals de rue de Tokyo.
Les Tokyoïtes, qui vivent dans des appartements exigus où les animaux sont souvent interdits, apprécient les bars à chats.
Une vente aux enchères de thons dans l’ancien marché aux poissons de Tsukiji, déménagé à Toyosu en 2018.
Des visiteurs se délassent les pieds dans un bassin tapissé de galets à Oedo-Onsen Monogatari, un parc dédié aux onsen, les bains traditionnels.
Les boutiques indépendantes bordent Takeshita Street, à Harajuku, l’épicentre de la mode japonaise kawaii (mignon).
Akihabara abrite des magasins de figurines et des « maid cafés » où les serveuses sont habillées en soubrettes.
Une démonstration de sumo pendant laquelle les lutteurs, vêtus du traditionnel kesho-mawashi (tablier de parade), commencent chaque combat par des rituels précis.
Kikanbo doit sa renommée à ses ramen épicés. Le piment Trinidad Scorpion et le poivre du Sichuan sont des ingrédients de ses soupes de nouilles.
Le week-end, le sanctuaire Meiji accueille de nombreux mariages.
Bien que le carrefour de Shibuya soit réputé comme le plus fréquenté au monde avec, aux heures de pointe, plus de 2 000 personnes qui le traversent en tous sens, une foule dense y circule harmonieusement.