À Tokyo, la renaissance du fleuve Tama
Publication 10 mars 2022, 06:30 CET

Au printemps, les maruta se rassemblent près des berges pour trouver un endroit où frayer. L’amélioration de la qualité de l’eau a permis le retour de cette espèce dans le Tama.
PHOTOGRAPHIE DE Ken TsurusakiUn jeune ayu saute hors de l’eau. Au printemps, cette espèce remonte le fleuve depuis la baie de Tokyo, via, des passes à poissons installées sur les barrages et les déversoirs.
PHOTOGRAPHIE DE Ken TsurusakiIl y a près d’un demi-siècle, l’eau à proximité du pont de la ligne Tokyu Toyoko et du déversoir de Chofu symbolisait la pollution dont souffrait le Tama. Les résidus d’un détergent domestique y créaient une mousse en surface.
PHOTOGRAPHIE DE Ken TsurusakiJournée sur le fleuve pour des élèves de l’école élémentaire. Cette sortie est destinée à développer chez les enfants un sentiment d’appartenance à leur région.
PHOTOGRAPHIE DE Ken TsurusakiDepuis toujours, ce poisson est l’espèce emblématique du Tama. Le cours supérieur du fleuve, l’un des plus urbanisés du Japon, bénéficie d’une eau de plus en plus propre et d’un environnement verdoyant.
PHOTOGRAPHIE DE Ken TsurusakiCette tortue serpentine n’est pas une espèce indigène. L’étude du fleuve a révélé que, outre cette tortue, des espèces invasives, telles l’achigan à petite bouche ou la grenouille-taureau, ont élu domicile dans le Tama.
PHOTOGRAPHIE DE Ken TsurusakiAprès nombre de méandres, le Tama se jette dans la baie de Tokyo à hauteur de l’aéroport Haneda. En dépit d’un environnement fortement urbanisé, le fleuve a conservé une bonne partie de son charme.
PHOTOGRAPHIE DE Ken Tsurusaki