
Monterosso est le premier village que l’on croise en venant de Gênes. Sur les hauteurs, on découvre ses vignobles en terrasses, cultivés à flanc de montagne depuis un millénaire. Ces paysages ainsi modifiés par l’homme sont inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1997.
PHOTOGRAPHIE DE Emanuela Ascoli
Pour se déplacer dans la région, il fallait auparavant prendre la mer ou marcher pendant des heures sur des sentiers escarpés. Aujourd’hui, quatre minutes suffisent pour relier en train Monterosso à Vernazza, seconde étape des Cinque Terre. Dans ce village, l’un des plus touristiques du parc naturel, la foule se presse devant les ruines du château Doria, construit au XIIe siècle sur une langue de roche avançant dans la mer. Sa position, surplombant la Méditerranée, était stratégique à l’époque des Républiques maritimes (Gênes, Venise, Pise etc.).
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Des marcheurs contemplent Corniglia sur le sentier qui relie le village à Vernazza. Une randonnée assez courte (environ 1h30) et facile malgré un important dénivelé.
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Corniglia, 250 habitants, bénéficie d’une vue imprenable sur la Méditerranée. C'est l'unique village des Cinque Terre qui n’est pas directement rélié à la mer. Pour y accéder depuis la gare, il faut donc monter un escalier en zigzag d’environ 350 marches.
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Quatrième étape : Manarola. Sa spécificité ? Il se love au creux d’un cirque abrupt, rayé de vignes en terrasses. Il abrite des producteurs de vin. L’occasion de déguster la spécialité locale, un vin liquoreux, le sciacchetrà.
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Riomaggiore est l’ultime étape. Les maisons très colorées de cet ancien village de pêcheurs, situé à l’extrémité est du parc naturel des Cinque Terre, sont typiques de la région. Ici la marina avec ses restaurants de spécialités de poissons et ses bateaux remontés à sec pour éviter d’être malmenés par les vagues.
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Aux Cinque Terre, la mer a sculpté des falaises abruptes. Une nature hostile et magnifique que les voyageurs viennent contempler sur différents belvédères dispersés le long de la côte. Ici, à Riomaggiore.
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