La fantasia, véritable tradition équestre au Maroc
Cette tradition, vieille de plusieurs siècles, met à l'honneur le lien entre un cavalier et sa monture.
Publication 11 juil. 2018, 15:55 CEST
Au cours de la fantasia, on célèbre le lien entre le cheval et son cavalier.
Ce cavalier est vêtu d'une djellaba, un vêtement ample doté de manches longues et d'une capuche, aux couleurs de sa troupe. Sa nimcha, une sorte d'épée originaire d'Afrique du nord, lui sert d'accessoire.
Alors qu'il vient d'achever la salve avec sa troupe sur le terrain principal, ce cavalier freine sa monture.
Pendant la fantasia, les cavaliers portent des djellabas traditionnelles, un vêtement composé de plusieurs couches de tissus qui les protègent de la poussière.
Les Arabes, les Andalous et les Barbes sont les races de chevaux les plus représentées lors des fantasia.
Un cavalier prend la pose devant la tente de sa troupe. Au cours de la fantasia, chaque troupe dispose d'une tente traditionnelle marocaine dans laquelle les cavaliers se préparent, prient et se reposent.
Un cavalier à la tenue vive patiente entre deux salves.
Alors qu'il vient d'achever la salve de sa troupe sur le terrain principal, un cavalier calme sa monture.