Alcatraz, l'île aux multiples facettes
C'est l'histoire d'un rocher désolé de la baie de San Francisco surplombé par l'un des pénitenciers les plus célèbres au monde.

Ces photos prises dans les années 1950 montrent les jardins d'Alcatraz tels qu'ils étaient à l'apogée de la notoriété du pénitencier. Même si certains détenus étaient autorisés à travailler dans les jardins, d'autres ne faisaient qu'y passer pour recevoir leurs consignes et d'autres encore ne se souviennent absolument pas de ces jardins.
Ces photos prises dans les années 1950 montrent les jardins d'Alcatraz tels qu'ils étaient à l'apogée de la notoriété du pénitencier. Même si certains détenus étaient autorisés à travailler dans les jardins, d'autres ne faisaient qu'y passer pour recevoir leurs consignes et d'autres encore ne se souviennent absolument pas de ces jardins.
En 2003, une partie des jardins de 1860 a été découverte sous une cellule. Ci-dessus, un historien de l'architecture mesure l'épaisse couche de terre noire importée qui recouvre le grès naturel de l'île.
La décennie qui a suivi la fermeture de la prison a été synonyme d'abandon pour l'île et son destin est resté incertain pendant plusieurs années : certains ont proposé qu'elle soit convertie en casino, en camp de nudistes ou encore en parc d'attractions.
De décembre 1969 à juin 1971, les activistes amérindiens ont occupé l'île d'Alcatraz sur la base de leur interprétation du traité de Fort Alamie ratifié en 1868. Ils affirmaient alors que ce traité leur garantissait le droit de revendiquer toute terre initialement leur, vendue au gouvernement des États-Unis puis abandonnée par celui-ci. Les manifestants souhaitaient implanter sur l'île une école amérindienne, un centre culturel ainsi qu'un musée, mais ils ont finalement perdu leur élan et ont été évacués par les forces fédérales après 19 mois d'occupation.
De décembre 1969 à juin 1971, les activistes amérindiens ont occupé l'île d'Alcatraz sur la base de leur interprétation du traité de Fort Alamie ratifié en 1868. Ils affirmaient alors que ce traité leur garantissait le droit de revendiquer toute terre initialement leur, vendue au gouvernement des États-Unis puis abandonnée par celui-ci. Les manifestants souhaitaient implanter sur l'île une école amérindienne, un centre culturel ainsi qu'un musée, mais ils ont finalement perdu leur élan et ont été évacués par les forces fédérales après 19 mois d'occupation.
