Vous pensez connaître notre planète ? « Bienvenue sur terre » va vous mettre à l’épreuve

Dans une série documentaire inédite disponible sur Disney+, Will Smith part à la rencontre de scientifiques et explorateurs pour expliquer les phénomènes naturels les plus extrêmes et les plus extraordinaires.

De Susan Goldberg
Publication 13 déc. 2021, 11:21 CET
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Dans le parc national du Serengeti en Tanzanie, deux lions mâles font une pause dans le lit d'un lac asséché.

PHOTOGRAPHIE DE Charlie Hamilton James

Bienvenue sur Terre, en streaming dès le 8 décembre sur Disney+Abonnement requis. Voir conditions sur DisneyPlus.com

Qui ne s'est jamais arrêté pour admirer un magnifique coucher de soleil ? Ou écouter le bruissement du vent dans les arbres ? Au bord de la mer, les marées deviennent envoûtantes et l'air se fait salin ; dans le ciel, des formations éblouissantes d'oiseaux et des étoiles sans fin nous captivent.

Derrière toutes ces expériences se cachent les forces naturelles à l'oeuvre sur notre planète. Elles donnent naissance aux sons, aux odeurs et aux images que nous percevons ; la vie qui grouille autour de nous, se déplaçant à toute vitesse. Ces phénomènes sont au centre du numéro de décembre du magazine National Geographic et d'une série documentaire en six parties, menée par Will Smith et d'ores et déjà disponible sur Disney+.

Quelle qu'en soit leur forme, imprimée ou audiovisuelle, ces reportages ont pour titre : Bienvenue sur Terre. Une salutation étrangement appropriée, comme si nous étions encore étrangers à cette planète que nous pensons si bien connaître. Nous avons encore beaucoup à apprendre, et Bienvenue sur Terre nous invite à regarder la Terre sous un nouvel angle.

Chaque épisode explore un phénomène distinct comme les couleurs, les sons, la vitesse et les odeurs. Les reportages sur la vie dans le Serengeti combinent une narration extraordinaire aux photographies de Charlie Hamilton James.

« Je fais des allers-retours dans le Serengeti depuis 25 ans... on ne s'est jamais perdus de vue », sourit Charlie Hamilton James. « Il n'y a tout simplement pas de meilleur endroit sur Terre pour photographier la faune. » Au total, il a passé plus de deux ans là-bas pour National Geographic afin de capturer la migration annuelle épique d'environ 1,3 million de gnous.

Chaque mois, nous visons à vous transporter dans des endroits où vous n'êtes jamais allés et à vous montrer le monde sous un jour nouveau. 

Merci de lire National Geographic.

Cet article a initialement paru sur le site nationalgeographic.com en langue anglaise.

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