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Page du photographe
Aji Styawan, National Geographic
Après la submersion de Purwosari Timur par la marée, en 2020, Turadi, 54 ans, surélève le sol de sa maison avec de la terre.
Chaque heure, 400 camions traversent Demak par la route de la côte nord, une voie majeure construite au 19e siècle par les colons néerlandais et aujourd’hui inondée régulièrement. Le gouvernement de Java central aménage un tronçon de 27 km sur une digue destinée à protéger les terres derrière elle, mais pas les villages du littoral.
Sundari, 48 ans, se recueille sur la tombe de son mari. Le cimetière de Timbulsloko, surélevé de 1,5 m à l’automne 2021, grâce à une dotation des autorités du Demak, est accessible à pied, même à marée haute.
À la sortie de Bedono, dans le département de Demak, la route principale est inondée à marée haute. Les enfants doivent aller à l’école en radeau. Plus de la moitié des villageois ont quitté leur maison pour gagner les hauteurs.
Difficile de tenir bon dans le Demak, un département de Java central. À Timbulsloko, un village naguère entouré de rizières, les habitants ont récemment construit une passerelle en bois pour rester au sec quand la marée afflue. Mais, d’après Ashar, le chef du village, « d’ici à l’an prochain, elle aura sans doute disparu ». La côte s’enfonce de 10 cm par an, en partie à cause du pompage des eaux souterraines.
Ceux qui n’ont pas les moyens de reconstruire leur maison stockent leurs biens en hauteur, pour s’adapter aux inondations chroniques. À Timbulsloko, Mashuri, 52 ans, un passionné de musique, propose des animations lors des fêtes dans le village.