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Page du photographe
Charles Xelot
Les ouvriers vivent dans plusieurs villages à Sabetta. L'usine est ouverte toute l'année, elle expédie les GNL par voie maritime depuis son port recouvert de glace.
La nuit sur la mer de Kara, de puissants projecteurs illuminent la glace sur le parcours du méthanier Christophe de Margerie afin d'offrir le meilleur champ de vision possible à son équipage. Construit par Daewoo en Corée du Sud, ce navire mesure environ 300 m, il peut contenir 172 000 mètres cube de GNL (soit 85 000 tonnes environ) et sa vitesse de croisière peut atteindre cinq nœuds à travers une glace dont l'épaisseur s'élève parfois à 2 m.
L’usine GNL de Yamal, achevée en décembre dernier, peut liquéfier 16,5 millions de tonnes de gaz naturel pompé par an à partir d’un champ situé à proximité de la péninsule de Yamal. Une flotte de navires brise-glace, encore en construction, transportera le gaz naturel liquéfié (GNL) le long de la côte arctique russe vers les marchés d’Europe et d’Asie.
Cette église orthodoxe russe à Sabetta fut consacrée en 2016 par le Patriarche de Moscou et de toute la Russie.
Les ouvriers vivent dans plusieurs villages à Sabetta. L'usine est ouverte toute l'année, elle expédie le GNL par voie maritime depuis son port recouvert de glace.
Sur cette photo prise en 2016, des soudeurs achèvent leur travail sur la paroi en métal d'une citerne pouvant accueillir 160 000 mètres cube de GNL à une température de - 160 °C.
Le coucher de soleil sur l'usine de Sabetta lui confère des allures de petite ville, ce qu'elle est d'une certaine manière.
L'usine de Sabetta un matin de février vers 3 h. En février de cette année, l'usine passait le cap des dix millions de tonnes de GNL.
Le capitaine du Christophe de Margerie, premier des 15 pétroliers brise-glace chargés de transporter le GNL depuis l’usine de Yamal, surveille la trajectoire du navire qui se fraye un chemin à travers la glace.
Du gaz brûle sur un site de forage de la péninsule de Yamal. Dans les opérations de forage ici et ailleurs dans le monde, l'excédent de gaz qui ne peut pas être commercialisé est généralement brûlé. Lorsque la zone environnante est plus peuplée que les terres désertiques de l'Arctique, cette évacuation se fait via une torche de brûlage.