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Dr. Daniel Rubinoff
Les chenilles collectionneuses d’os mesurent un centimètre de long environ et se servent de leurs pseudo-carapaces, faites de soie et de salive de chenille, pour dissimuler leur identité à des araignées qui ignorent qu’elles se nourrissent de leurs proies.
L’entomologiste Daniel Rubinoff et son équipe ont élevé des chenilles collectionneuses d’os dans leur laboratoire. Ce spécimen, une femelle, montre ce à quoi ces bestioles ressemblent une fois adultes. Mâles comme femelles ont le même aspect et arborent une frange blanche sur leurs ailes.
Cette pseudo-carapace est l’une des plus diverses que l’équipe ait découvert. On y trouve, pêle-mêle : une tête de charançon, une tête de fourmi, des pattes d’araignées, des morceaux d’ailes de mouches, des morceaux d’ailes et de l’abdomen d’un coléoptère, et d’autres membres d’insectes.
La chenille collectionneuse d’os qui a fait cette carapace avait un penchant pour les pattes d’araignées… ou peut-être que c’était tout ce qu’il y avait à se mettre sur le dos.
Les chenilles collectionneuses d’os, une espèce tout juste découverte et pas encore nommée, construisent une pseudo-carapace en soie autour de leur corps et l’ornent de membres d’insectes morts récupérés sur des toiles d’araignées. Cette chenille a peut-être fait preuve d’un peu de zèle avec ses décorations. Certaines sont tombées, mais des membres plus grands demeurent, comme une aile de coléoptère. Parfois, quand les membres sont trop gros, la pseudo-carapace se prend dans des toiles.