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Page du photographe
Jonathan Martin
Ce cliché montre à quoi ressemblent les ornithorynques lorsqu’ils sont exposés aux ultraviolets (UV). D’après le chercheur Jonathan Martin, cette dernière « sature tout dans la lumière violette, c’est la raison pour laquelle l’appareil photo a dû mal à enregistrer ce que l’œil voit. Le filtre jaune réduit la couleur violette, et ainsi, l’image révèle une couleur plus “fidèle” de la fluorescence ».
Les ornithorynques sont biofluorescents, c’est-à-dire que leur fourrure émet une lueur bleu-vert lorsqu’elle est exposée aux ultraviolets (UV). Cette photographie, qui fait partie d’une image composite ayant servi au cours d’une étude, utilise un filtre jaune qui révèle une couleur plus « fidèle » de la fluorescence de la fourrure.
La peau d’un petit polatouche (Glaucomys volans) exposée à la lumière visible et aux ultraviolets (à droite). Sous ces derniers, son pelage devient fluorescent et de couleur rose vif.
Un polatouche photographié dans la nature alors qu’il était exposé aux ultraviolets. La queue et le ventre sont les parties du pelage de l’animal les plus fluorescentes.