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Martin Edström

Si les ressources en ligne sont nombreuses pour certaines destinations, à l’instar de la cascade Múlafossur, située aux îles Féroé (ci-dessus), elles peuvent être inexistantes pour les villes les plus petites ou isolées. La méfiance est de rigueur, car l’intelligence artificielle a alors tendance à donner de fausses informations ou recommandations aux voyageurs.

La lumière des étoiles et des lampes à batterie éclaire le campement de l’équipe.

Les dromadaires sont toujours utilisés comme bêtes de somme sur Socotra. Ces paysans traversent un col des Monts Haggier, situés en périphérie d’Hadiboh. Le plus haut sommet de la chaîne montagneuse mesure plus de 1 520 mètres d’altitude.

L’équipe de journalistes et de photographes s’est déplacée sur l’île en SUV.

Sur Socotra, les grottes de calcaire sont habitées depuis que les Hommes se sont installés sur l’île il y a des milliers d’années. Elles sont aujourd’hui encore utilisées comme maisons et lieu de stockage.

Abdullah Aliyuh, alias Abdullah l’homme des cavernes, pousse son radeau tandis qu’il ramasse des huîtres en mer devant sa grotte, un refuge où il vient échapper à sa vie citadine plus ennuyante.

Ce dragonnier de Socotra a été déraciné lors d’un des cyclones qui ont frappé l’île ces derniers années.

Sur l’île désertique, l’ombre des branches et des feuilles des dragonniers de Socotra est la bienvenue.

Depuis des siècles, les habitants de Socotra récoltent la résine que produit le dragonnier de Socotra, très appréciée en tant qu’agent colorant et pour ses prétendues propriétés médicinales.

Voici une curiosité arboricole de Socotra : l’Adenium obesum ou rose du désert. En arrière-plan, une chèvre profite de l’ombre d’un arbre à encens. Considéré comme une espèce invasive néozoaire, l’animal est un fléau pour les jeunes arbres de l’île.