Découvrez la vie des réfugiés au nord du cercle polaire
Publication 10 mars 2022, 06:29 CET

À cause d’un manque de lumière durant la journée, les réfugiés musulmans qui logent à l’hôtel doivent trouver un moyen de faire leurs prières quotidiennes, des prières qui reposent sur la position du soleil dans le ciel.
Photo Axel Öberg, National GeographicSur les 600 réfugiés qui logent à l’hôtel, il y a 100 enfants. Voici un petit garçon qui joue dans la neige, profitant des quelques heures de luminosité. En janvier, le soleil ne s’élève jamais au-dessus de l’horizon.
Photo Axel Öberg, National GeographicMarkzie Tavasoly, 28 ans et originaire d’Afghanistan, prend un cours d’anglais.
Photo Axel Öberg, National GeographicCe qui, en temps normal, est une discothèque à l’hôtel a été transformé en petit terrain de football d’intérieur.
Photo Axel Öberg, National GeographicLa plupart des enfants qui résident à Riksgränsen n’avaient encore jamais joué dans la neige.
Photo Axel Öberg, National GeographicMustafa Dagher, 37 ans, tient son fils Nuha dans ses bras qui a attrapé la varicelle. Beaucoup d’enfants ont attrapé le virus.
Photo Axel Öberg, National GeographicMasome Hasani que l’on voit se brosser les dents, est venue d’Afghanistan avec sa famille à Riksgränsen. Sa mère se tient derrière elle.
Photo Axel Öberg, National GeographicLa plupart des réfugiés viennent d’endroits beaucoup plus peuplées que Riksgränsen. Ils disent que la tranquillité et l’isolement peuvent être difficiles à vivre parfois. Chaque jour, un bus les emmène à Kiruna, la ville la plus proche. C’est à 90 minutes de l’hôtel.
Photo Axel Öberg, National GeographicPeter Nilson a commencé à travaillé à Riksgränsen pendant la saison estivale de 2015. On le voit qui vérifie les pièces d’identités, une procédure qui veille à ce que les gens restent dans leurs propres chambres et qu’il n’y ait aucun hôte indésirable.
Photo Axel Öberg, National GeographicKiruna, située à 90 minutes de Riksgränsen, est la ville la plus proche de l’hôtel. Chaque jour, des bus y emmènent les réfugiés, où il y a un peu plus d’activité. Kiruna compte près de 20 000 habitants.
Photo Axel Öberg, National GeographicLes réfugiés obtiennent de l’argent du gouvernement suédois afin de pouvoir acheter des vêtements d’hiver. Mais certains préfères acheter des cigarettes à la place.
Photo Axel Öberg, National GeographicMis à part le ski, le seul autre business de Riksgränsen est celui de l’élevage de rennes qui est géré par les Sames, un peuple indigène.
Photo Axel Öberg, National GeographicÀ Riksgränsen, le personnel de l’hôtel a organisé la célébration Sainte-Lucie, une fête typique suédoise. En improvisant, ils ont utilisé l’un des peignoirs du spa.
Photo Axel Öberg, National GeographicAbdullah Hammadi, 15 ans, vient de la province de Salahhidin en Irak.
Photo Axel Öberg, National GeographicAdila Mohsini et ses enfants (de gauche à droite) Zahra Rizai, Jaafar Rizai, et Adis Rizai sont arrivés en octobre à Riksgränsen en provenance d’Afghanistan. L’Agence suédoise de migration estime qu’environ 40 000 réfugiés sont arrivés d’Afghanistan en Suède en 2015.
Photo Axel Öberg, National GeographicIl y a de plus en plus d’Erythréens en Suède. Segan Johannes, 13 ans, fait partie des nombreux Erythréens qui ont fui l’oppression dans leur pays d’origine.
Photo Axel Öberg, National GeographicJean Paul « JP » Pozzi, responsable à Riksgränsen, pose ici avec sa compagne Kristiina Lampinen qui travaille également à Riksgränsen. Il raconte que tout est arrivé très vite dès que l’hôtel a accepté de loger 600 réfugiés pendant l'automne.
Photo Axel Öberg, National GeographicIshaq Alrawi est originaire de Falloujah, en Irak. Elle est arrivée en passant par la Turquie il y a un mois avec sa mère Nuha, sur la photo, et son père.
Photo Axel Öberg, National GeographicHamza Flayyih, de Bagdad, qui à Bagdad passait son temps à jouer au football, dit-il, mais qui ne le fait plus. « J’attends que l’été arrive, et j’espère être transféré dans un endroit avec un terrain de football où je pourrai jouer. »
Photo Axel Öberg, National GeographicMohammed Ashamed a rejoint Riksgränsen depuis Alep, en Syrie, avec sa fille Amil.
Photo Axel Öberg, National GeographicRoya Hosseini, 14 ans, a fui avec sa famille pour rejoindre la Suède. La plupart des réfugiés espèrent atteindre l’Europe pour pouvoir faire venir leurs familles.
Photo Axel Öberg, National GeographicMarwan Ayab, 10 ans, originaire de Damas en Syrie, joue dans la neige.
Photo Axel Öberg, National GeographicSaker Hossein Nabavi, sa femme Sakine et leur bébé sont arrivés d’Afghanistan où Saker était entraîneur de l’équipe nationale de boxe. Il organise désormais des cours de boxe dans la salle de sport plusieurs fois par semaine.
Photo Axel Öberg, National Geographic