
Au marché noir des animaux de compagnie, le bébé orang-outan vaut cher. Comme sa maman est très protectrice, il faut la tuer pour lui enlever son enfant. Ces orphelins ont été recueillis par une association.
PHOTOGRAPHIE DE Tim LamánLes orangs-outans de Sumatra constituent une espèce distincte. Ils sont environ 14 000 à l’état sauvage. Ici, un mâle défie un rival en montrant ses dents et en secouant des branches.
PHOTOGRAPHIE DE Tim LamánUn orang-outan de Bornéo grimpe à 30 m dans la canopée pour saisir le fruit d’un figuier étrangleur. Les mâles pèsent près de 90 kg, faisant de l’orang-outan le plus gros animal arboricole du monde.
PHOTOGRAPHIE DE Tim LamánUn bébé de 11 mois imite sa mère à l’heure du déjeuner. Il restera une dizaine d’années avec elle. Elle lui apprendra les techniques de survie, dont la cueillette des fruits les plus nourrissants
PHOTOGRAPHIE DE Tim LamánDes rangs de palmiers à huile remplacent la forêt tropicale humide, près du parc national de Gunung Palung, à Bornéo. Le palmier à huile, utilisé dans l’alimentation et les cosmétiques, dévore l’habitat des orangs-outans.
PHOTOGRAPHIE DE Tim LamánUn orang-outan de Bornéo mâle s’est fait un parapluie d’une branche feuillue. Ce comportement appris est un exemple de la « culture » transmise d’une génération à l’autre chez ces primates.
PHOTOGRAPHIE DE Tim LamánDes orangs-outans orphelins sont entraînés chaque jour en forêt à acquérir les comportements qui leur permettront d’y survivre. Leurs gardiens portent des masques pour ne pas leur transmettre d’agents pathogènes.
PHOTOGRAPHIE DE Tim LamánLes feux visant à défricher la forêt (notamment au profit des palmiers à huile) ont détruit 2,5 millions d’hectares en Indonésie, en 2015.
PHOTOGRAPHIE DE Tim LamánAnimal domestique pendant des années, ce mâle ne pourrait plus vivre à l’état sauvage.
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