Les secrets du grand requin blanc
Publication 10 mars 2022, 06:30 CET

Un grand requin blanc s’approche d’un plongeur protégé, par une cage, au large de l’Australie. L’animal fait très peur mais, estiment les scientifiques, les humains menacent davantage les requins blancs que l’inverse.
PHOTOGRAPHIE DE Brian SkerryLes eaux limpides autour des îles Neptune, en Australie, sont l’un des meilleurs endroits du monde pour l’observation des requins blancs. Celui-ci passe près d’une raie, dans une forêt de kelp.
PHOTOGRAPHIE DE Brian SkerryUn grand requin blanc jette un œil à un objectif dissimulé dans un phoque factice, près du cap Cod (nord-est des États-Unis). L’espèce est très difficile à photographier, car on ne peut pas l’attirer avec des appâts.
PHOTOGRAPHIE DE Brian SkerryDeux requins en quête d’otaries nagent près des îles Neptune. Les grands requins blancs ne vivent pas en groupe, mais ne sont pas de purs solitaires. Parfois, ils se réunissent près des sources de nourriture.
PHOTOGRAPHIE DE Brian SkerryLes scientifiques peuvent reconnaître un grand blanc (ici, près des îles Neptune), à sa nageoire dorsale, à ses cicatrices et à la ligne dentelée qui sépare les parties grise et blanche de son corps.
PHOTOGRAPHIE DE Brian SkerryLe biologiste Greg Skomal tente de filmer un requin près d’une plage très courue, au large du cap Cod. Des grands blancs y reviennent désormais régulièrement, ce qui est nouveau.
PHOTOGRAPHIE DE Brian SkerryUn requin blanc mord un phoque factice, près du cap Cod. Souvent, les requins mordent leur proie puis la relâchent, le temps qu’elle se vide de son sang.
PHOTOGRAPHIE DE Brian Skerry