Les plus belles photos d'animaux sauvages de 2020
Une image rare et empreinte d'espoir d'un tigre de Sibérie dans l'Extrême-Orient russe a valu au photographe Sergey Gorshkov le titre de Photographe animalier de l'année 2020.

Liina Heikkinen, âgée de 13 ans, a remporté le titre de Jeune photographe animalier de l’année, autre distinction prestigieuse du concours, avec sa photographie d’un jeune renard dévorant une oie dans un nuage de plumes blanches, réalisée sur une île en périphérie d’Helsinki.
Cette photographie rare d’une tigresse de Sibérie étreignant un arbre dans l’Extrême-Orient russe a valu au photographe Sergey Gorshkov le prestigieux titre de Photographe animalier de l’année.
Un jeune mâle nasique ferme les yeux et laisse apparaître ses paupières bleu clair. Ce cliché, pris par le Danois Mogens Trolle, a remporté le prix de la catégorie « Portraits d’animaux ».
Une grenouille de verre de Manduriacu mange une araignée dans les contreforts des Andes, dans le nord-ouest de l’Équateur. Cette photographie, prise par l’Espagnol Jaime Culebras, a remporté le prix de la catégorie « Comportement : amphibiens et reptiles ». Les grenouilles de verre sont des espèces clés de voûte : elles jouent un rôle important dans le maintien de l’équilibre de leur écosystème.
Jose Luis Ruiz Jiménez a réalisé ce cliché d’une famille de grèbes huppés dans un lagon de l’ouest de l’Espagne en faisant flotter un appareil photo et en se cachant sous une tente de camouflage. La photographie, portrait intime d’un parent qui nourrit son oisillon à la bouche grande ouverte, lui a valu le prix dans la catégorie « Comportement : oiseaux ».
La photographie de deux guêpes sur le point d’entrer dans leur nid a valu à Frank Deschandol le prix dans la catégorie « Comportement : invertébrés ». Le photographe a immortalisé ce moment non loin de sa maison, en installant un faisceau infrarouge qui se déclenchait au moindre mouvement de guêpe. Il espérait photographier une guêpe-coucou (à gauche), mais a fini par obtenir un cliché où figure aussi une ammophile des sables.
Six ans de travail furent nécessaires au photographe Shanyuan Li pour immortaliser cette photographie rare d’une famille de chats de Pallas dans les steppes reculées du plateau tibétain de Qingahi, dans le nord-ouest de la Chine. Le photographe a remporté le prix dans la catégorie « Comportement : mammifères ». Ces petits félins, habituellement solitaires, sont difficiles à trouver et principalement actifs à l’aube et au crépuscule.
Gabriel Eisenband est l’auteur de cette photographie de fleurs d’arnica blanche, une espèce endémique de Colombie. Elle lui a valu le prix dans la catégorie « Plantes et champignons ». Pour saisir les nuages flottant au-dessus du haut sommet sans effet de flou lié au mouvement des plantes, Gabriel Eisenband a eu recours à une exposition longue.
Cette photographie d’une minuscule paralarve de calamar diamant voletant dans les eaux profondes, réalisée lors d’une séance de plongée de nuit au large d’Anilao, aux Philippines, a valu au Chinois Songda Cai le prix de la catégorie « Sous l’eau ».
Ce cliché de lave s’écoulant d’une crevasse sur l’Etna, photographié par l’Italien Luciano Gaudenzio, a remporté le prix de la catégorie « Environnements terrestres ». Pour immortaliser cette scène, Luciano et ses collègues ont marché pendant plusieurs heures pour atteindre le versant nord du volcan.
Kirsten Luce a remporté le prix de la meilleure image dans la catégorie « Photojournalisme animalier ». L’ours polaire muselé devait obéir et réaliser des tours, tout en étant contrôlé par une barre en métal. Les ours polaires se couchaient et frottaient leur corps contre le sol glacé entre deux numéros.
Paul Hilton a remporté le prix du récit photojournalistique animalier pour son travail documentant le commerce international d’animaux. Ce cliché montre un jeune macaque à queue de cochon enchaîné à une cage en bois sur un marché aux oiseaux à Bali.
L’Italien Alberto Fantoni a remporté le prix du meilleur portfolio pour un jeune photographe pour son travail documentant les oiseaux de la Méditerranée. Sur ce cliché, un faucon d’Éléonore mâle apporte de la nourriture à sa partenaire.
L’Indien Ripan Biswas a immortalisé une rencontre rare entre deux prédateurs féroces : un cicindèle aquatique géant, qui chasse ses proies au sol, et des fourmis tisserandes, qui chassent habituellement des insectes dans les arbres. La photographie, prise dans le lit asséché d’une rivière au sein du Parc national de Buxa, dans le Bengale-Occidental, en Inde, faisait partie de l’ensemble de photos de Ripan Biswas qui lui ont valu de remporter le prix du meilleur portfolio.
