Sommaire du magazine National Geographic du mois de juillet 2025 : New York la nouvelle Babel
Ce mois-ci dans le magazine National Geographic : comment New York pourrait-elle sauver les dialectes les plus rares du monde ?

Couverture du numéro de juillet 2025.
Il y a 400 ans, quand les Hollandais ont créé la colonie de la Nouvelle-Amsterdam, future New York, une trentaine de langues y étaient parlées. Aujourd’hui, elles sont plus de 700 –soit plus de 10% des quelque 7000 idiomes de la planète. La ville présente ainsi la plus grande richesse linguistique de l’histoire. Mais pour combien de temps encore?
Dans ce nouveau numéro de juillet 2025, le magazine National Geographic vous dévoile un aperçu des merveilles linguistiques et culturelles de la ville qui ne dort jamais :

Novembre 1957 : une réplique du Mayflower arrive dans le port de New York, escortée par des bateaux, et même un dirigeable. Ce navire a traversé l’Atlantique en suivant le parcours du vaisseau originel vers Plymouth, dans le Massachusetts, où des puritains séparatistes anglais du XVIIe siècle fondèrent une colonie.
Une cité au sommet.
Au cours de ce dernier siècle, National Geographic a raconté l’ascension irrésistible de New York et les défis qu’elle a dû affronter.

À 8 km d’Assa, dans le Sud marocain, ces palmiers sont les derniers vestiges de l’oasis de Tanoueest, aujourd’hui envahie par le sable.
A la merci des sables.
Partout dans le monde, des centaines de millions de personnes dépendent de ces îlots fertiles pluriséculaires en voie de disparition. Dans le Sud du Maroc, une communauté allie les savoirs ancestraux à des innovations pour protéger les oasis.

Présents sur tous les continents hormis l’Australie et l’Antarctique, les vautours, tel l’oricou, cohabitent avec l’homme depuis des millénaires. Mais, comme ils se nourrissent de cadavres d’animaux, on les a accusés de transmettre des maladies. En réalité, en consommant de la chair en décomposition, ces rapaces empêchent la propagation d’agents pathogènes à l’origine, entre autres, de la peste bubonique et de la maladie du charbon. Ils évitent aussi l’émission par les charognes de dizaines de millions de tonnes de gaz à effet de serre chaque année.
Pourquoi tant de haine ?
Que ce soit à cause de leur physique, de leurs habitudes étranges ou de leurs comportements repoussants, certains animaux nous rebutent.
IIs sont pourtant indispensables à la planète. Et à l’humanité.
