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Page du photographe
Joël Sartore
Les premières descriptions des paresseux montrent pourquoi ces animaux lents, indigènes d’Amérique centrale et du Sud, ont dès le départ eu mauvaise réputation. Un récit du XIXe siècle les qualifiait ainsi de « monstres imparfaits de la création », « tout aussi remarquables par leur apparence repoussante que par leur impuissance ». Plusieurs variétés d’algues poussent dans leur pelage rêche, leur donnant un étrange lustre verdâtre. Ce trait adaptatif singulier est une arme secrète, qui agit tel un camouflage pour ces résidents de la canopée.
Madagascar compte son lot de primates charismatiques, comme le maki catta. Mais le plus captivant d’entre eux reste peut-être l’aye-aye, le plus gros primate nocturne de la planète. Cet animal hirsute, à l’image de ce petit âgé de seize jours, a des yeux perçants, une longue queue et un pelage rêche. Sa laideur lui vaut la réputation de porter malheur auprès de certaines personnes qui n’hésitent pas à l’éliminer, mettant ainsi en danger l’espèce. Des initiatives pour réhabiliter son image, lancées par des défenseurs de la nature et des agriculteurs, sensibilisent la population locale au fait que ces animaux sont d’efficaces prédateurs des larves de mineuses, qui ravagent les girofliers le long de la côte est de l’île.
Présents sur tous les continents hormis l’Australie et l’Antarctique, les vautours, tel l’oricou, cohabitent avec l’homme depuis des millénaires. Mais, comme ils se nourrissent de cadavres d’animaux, on les a accusés de transmettre des maladies. En réalité, en consommant de la chair en décomposition, ces rapaces empêchent la propagation d’agents pathogènes à l’origine, entre autres, de la peste bubonique et de la maladie du charbon. Ils évitent aussi l’émission par les charognes de dizaines de millions de tonnes de gaz à effet de serre chaque année.
Seulement 20 secondes de contact physique, qu’il s’agisse d’un câlin, d’une caresse à un animal ou de votre propre main, peuvent déclencher des changements hormonaux qui réduisent rapidement le stress.
Présents sur tous les continents hormis l’Australie et l’Antarctique, les vautours, tel l’oricou, cohabitent avec l’homme depuis des millénaires. Mais, comme ils se nourrissent de cadavres d’animaux, on les a accusés de transmettre des maladies. En réalité, en consommant de la chair en décomposition, ces rapaces empêchent la propagation d’agents pathogènes à l’origine, entre autres, de la peste bubonique et de la maladie du charbon. Ils évitent aussi l’émission par les charognes de dizaines de millions de tonnes de gaz à effet de serre chaque année.
Pour sensibiliser aux menaces que vivent les animaux en danger, un lion photographié par l’explorateur National Geographic Joel Sartore est projeté sur la façade du Vatican en 2015. D’autres images de forêts et d’animaux furent également exposées pour coïncider avec les débats internationaux sur le climat à Paris.
Une personne âgée s’attelle à une grille de mots croisés. Ces jeux peuvent maintenir le cerveau mobilisé, mais des études montrent que d’autres éléments, comme l’exercice physique et l’instruction, jouent un plus grand rôle dans la prévention du déclin cognitif.
Nécrophore d’Amérique (Nicrophorus americanus)
Ce bruant chingolo (Zonotrichia capensis subtorquata) a été photographié à la ferme Membeca Lagos de Rio de Janeiro, au Brésil.
Le crapaud à crête porto-ricain est la seule espèce de crapauds indigène de l’île. Cette espèce que l’on a crue disparue à jamais est en danger critique d’extinction et symbolise la lutte qui a lieu en ce moment sur l’île pour protéger ses écosystèmes fragiles.