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Page du photographe
Davide Monteleone
L’usine de captage direct dans l’air qu’exploite Climeworks en Islande – la plus grande du genre dans le monde – élimine 4 000 t de CO2 par an. Cela représente l’équivalent des émissions annuelles d’environ 500 foyers.
La production de ciment correspond à 7 % des émissions mondiales de CO2. L’usine Heidelberg Materials de Brevik, en Norvège, pense utiliser énergies alternatives et captage de CO2 afin d’atteindre la neutralité carbone d’ici à 2030.
Au Post Carbon Lab, à Londres, Dian-Jen Lin et Hannes Hulstaert créent des vêtements aux propriétés photosynthétiques, à partir d’encres microbiennes (ci-contre) qui captent du CO2 de l’atmosphère et rejettent de l’oxygène. « Traditionnellement, la mode est fondée sur l’exploitation de la nature, souligne Dian-Jen Lin. Nous devons inverser cette tendance. »
Grâce à un procédé qui imite la photosynthèse, Air Company a mis au point des produits de luxe, dont de la vodka. L’entreprise affirme que chaque bouteille élimine de l’air environ 500 g de CO2.
« Que faire du CO2 piégé ? Vous pouvez le transformer en produits utiles jusque-là fabriqués à partir d’énergies fossiles », explique Nicholas Flanders, cofondateur et PDG de Twelve, entreprise qui fabrique du carburant pour l’aviation avec du CO2 et de l’eau.
Des entrepreneurs s’emploient à transformer le CO2 en produits de consommation, notamment des diamants. Aether crée ces joyaux à partir du CO2 de l’atmosphère plutôt que par extraction minière, énergivore. « Chaque carat des diamants que nous fabriquons retire un peu de CO2 de l’air », déclare l’entreprise.
Une plateforme pétrolière, Transocean Enabler, procède à des forages d’injection de plus de 2 km sous le fond de la mer du Nord pour créer un réseau de réservoirs sous-marins pouvant absorber 1,5 million de tonnes de CO2 par an.
Un igloo géodésique en aluminium est éclairé par un drone sur un champ de lave près de Reykjavik. L’entreprise islandaise Carbfix y pétrifie du CO2 préalablement piégé : cette méthode est la référence en la matière, car le stockage est quasi permanent.
Un prototype de Maserati MC20 BEV relâche de l'électricité pendant une phase de test. Les véhicules électriques de ce type constituent un élément majeur de la stratégie de réduction de l'impact environnemental du secteur des transports.
Les diamants synthétiques, comme celui montré ci-dessus, ne proviennent pas de mines, mais sont cultivés en laboratoire.