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Page du photographe
Ian Teh
La Langur Way Canopy Walk traverse une forêt tropicale intemporelle sur l’île de Pinang, en Malaisie. La restauration de forêts complexes contribue à jeter un pont vers une planète plus saine.
Sur l’île Horn, le chef d’expédition Brian Buma jette un œil dans une vieille chapelle où des membres de son équipe se sont réfugiés pendant l’une des tempêtes qui frappent régulièrement l’île.
L’équipe rencontre les seuls habitants à plein temps de l’île, le sous- officier de la marine chilienne Andrés Morales et sa famille. Morales, affecté ici pour un an, entretient le phare qui domine le passage de Drake et fournit des bulletins météorologiques aux navires de passage.
Iván Díaz, spécialiste des canopées, grimpe sur des hêtres de Magellan. Appuyés contre une pente et protégés du vent, ces spécimens ont une hauteur inhabituelle pour l’île Horn, où la plupart des arbres dépassent à peine la taille du chercheur.
Regagnant les colonies après une journée de pêche, des manchots de Magellan gravissent le rivage de l’île. Pour traverser la végétation, les chercheurs ont parfois dû emprunter les mêmes chemins que les oiseaux, en glissant sur leurs fientes.
L’arbre le plus au sud du monde appartient à un bosquet de hêtres de Magellan. Quoique modeste, ce spécimen servira de repère pour savoir si, réchauffement climatique aidant, les forêts vont progresser vers l’Antarctique.
Les écologues Brian Buma (à gauche) et Andrés Holz scrutent les corniches herbeuses du cap Horn, le dernier point d’Amérique du Sud où un arbre pourrait pousser.
En quête de l’arbre le plus méridional de la Terre, les scientifiques traversent l’île Horn. Ils ont parfois dû marcher sur le sommet des arbres et des buissons, avançant prudemment pour ne pas glisser dans des ravins abrupts.
L'arbre du bout du monde
Le confinement, occasion de se rapprocher. Kuala Lumpur, Malaisie. Le photographe Ian Teh passe une grande partie de sa vie professionnelle en déplacement. Avec la pandémie, il a pu rester chez lui, à Kuala Lumpur, avec sa femme, Chloe Lim. « Ma conjointe et moi avons la chance que nos deux familles soient en bonne santé, dit-il. La pandémie nous a permis de nous connecter avec nos proches, de façon virtuelle. » Un jour, Teh a réalisé un autoportrait : « Nous nous tenons à notre endroit favori dans notre appartement, nous regardons les maisons voisines et la verdure. C’est paisible. »