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Nat Geo Image Collection
Une femme réalise une autopalpation mammaire afin de s’assurer de l’absence d’anomalies. Le cancer du sein est le type de cancer le plus répandu chez les femmes et l'autopalpation est à l’origine de 65 % des dépistages de cancers du sein.
Des vigognes dirigées vers une enceinte en pierre pour être comptées et triées, Pérou, 1973.
Fourmi (nom scientifique : Camponotus atriceps) infectée par un champignon (nom scientifique : Ophiocordyceps unilateralis sensu lato). Le champignon force la fourmi à grimper au-dessus du sol de la forêt et à mordre une feuille ou une branche. Le champignon tue ensuite la fourmi, se développe à partir de son corps et libère des spores qui infecteront d’autres fourmis. La position de la fourmi au moment de sa mort aide le champignon à disperser ses spores plus efficacement.
De simples moments ludiques comme cette séance de trampoline permettent d'acquérir force, coordination et confiance, trois éléments clés selon les chercheurs pour aider les personnes âgées à chuter sans risque et à se rétablir rapidement.
Un chiot femelle repose sur la jambe d’une femme. De nouvelles recherches suggèrent que certaines personnes sous-estiment les responsabilités liées à l'accueil d’un chiot.
Jane Goodall se penche en avant tandis que Jou Jou, un chimpanzé, tend la main vers elle à Brazzaville, au Congo, en 1990. En repensant à sa jeunesse et à ses premières découvertes émerveillées de ces créatures fascinantes et complexes qui allaient devenir l’œuvre de sa vie, elle déclara que la jeune femme « [était] toujours là, toujours une partie de moi plus mûre, me chuchotant avec excitation à l’oreille ».
Jane Goodall discute avec des collégiens lors d’un événement en 1995 pour Roots & Shoots, une initiative qu’elle a lancée avec le Jane Goodall Institute en 1991 afin de sensibiliser les enfants à l’importance de la conservation. Dans le cadre de sa mission de développer la conscience environnementale, Jane Goodall croyait au pouvoir de la jeunesse pour faire bouger les lignes.
Dans sa maison de Dar es Salaam, en Tanzanie, dans les années 1990, Goodall écrivait de vingt à trente lettres par jour pour poursuivre ses objectifs de protection des chimpanzés et de leurs habitats. « En 1960, l’habitat des chimpanzés s’étendait aussi loin que je pouvais voir à Gombe », dit-elle à National Geographic en 1995. « Aujourd’hui, les chimpanzés sont emprisonnés comme s’ils étaient sur une île. »
Jane Goodall prend des notes tandis qu’elle observe des chimpanzés en train de jouer à Gombe, en 2011. Au fil de ses années d’observation minutieuse, elle en est venue à comprendre à quel point les chimpanzés peuvent être semblables aux humains. « Quand j’ai commencé à Gombe, je pensais que les chimpanzés étaient plus gentils que nous », dit-elle à National Geographic en 1995. « Mais le temps a révélé qu’ils ne le sont pas. Ils peuvent être tout aussi horribles. »
Jane Goodall pose avec son premier chimpanzé, une peluche appelée Jubilee, dans sa maison familiale du comté de Dorset, en Angleterre. Goodall a grandi à “The Birches”, surnom donné en raison des bouleaux argentés de la propriété, avec sa mère, sa grand-mère, sa sœur et deux tantes, tandis que son père, ingénieur, était souvent absent pour le travail.