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Page du photographe
Saumya Khandelwal
Transformer la lumière du soleil en électricité est la clé de l’avenir des énergies alternatives de l’Inde. Le parc solaire de Bhadla, au Rajasthan, est l’un des plus grands du monde. D’une superficie de 57 km², il peut alimenter 1 million de foyers.
NEW DELHI, INDE. Des climatiseurs bardent des façades d’immeubles dans la capitale indienne. En mai, les températures y dépassent souvent les 40 °C. Moins de 10 % des foyers indiens ont la climatisation. Cependant, ce marché est en plein essor.
Sur un chantier, à Delhi, une machine vaporise de l’eau pour empêcher la poussière de voler. Celle-ci peut contenir des produits chimiques nocifs et constitue une source importante de pollution atmosphérique dans la ville. Les déchets brûlés, les fourneaux, les générateurs Diesel et les centrales au charbon y polluent aussi l’air.
À Faridabad, non loin de Delhi, en Inde, les ouvriers qui construisent un barrage travaillent dans un air saturé par un brouillard de pollution. Le pays compte neuf des dix villes les plus polluées du monde. On estime que 1,7 million d’Indiens sont morts prématurément en 2019 à cause de la pollution.
Le désespoir chez les plus vulnérables. Lucknow, Inde. En Inde, 139 millions de personnes sont des migrants internes ayant quitté leur zone rurale pour travailler en ville, estime-t-on. Quand le pays a décrété le confinement, des millions d’individus ont perdu leur emploi et tenté de rentrer chez eux. Les transports publics étant à l’arrêt, ils ont marché, fait du vélo ou sont montés dans un camion, comme ici, près de Lucknow. Le gouvernement a fini par prendre des dispositions pour que les trains et les bus convoient les travailleurs migrants. La pandémie plongera 400 millions de travailleurs indiens du secteur informel dans une pauvreté encore plus grande, redoute l’Organisation internationale du travail.
Une société de construction de New Delhi emploie un canon anti-pollution pour contrôler la pollution par la poussière. La machine pulvérise de l’eau dans l’air, qui alourdit la poussière de manière à ce que les particules tombent au sol.
Un champ est brûlé pour se débarrasser du chaume des cultures de riz là où la récolte a été effectuée. Les spécialistes ont émis des avertissements concernant les graves conséquences que le brûlage de chaume pourrait avoir pour les personnes souffrant déjà de maladies respiratoires.
En hiver, la pollution liée aux travaux de construction, comme sur ce chantier, est exacerbée par le brouillard de pollution provenant des champs que les agriculteurs brûlent afin d’ensemencer rapidement le blé après la récolte du riz.
Les organes publics de contrôle de la pollution du nord de l’Inde surveillent le brûlage de chaume, une pratique illégale, et délivrent des amendes aux agriculteurs qui enfreignent l’interdiction.
Une femme essaie de se protéger de la pollution à New Delhi. Le gouvernement de la ville interdit parfois temporairement les activités de construction et d’excavation pour atténuer le brouillard de pollution.