Reportage dans le tombeau de Toutânkhamon
Après deux fouilles aux conclusions divergentes, un nouveau scan du tombeau du célèbre pharaon tente d'en percer le mystère. Reportage aux côté des archéologues chargés de cette délicate mission.
Publication 2 févr. 2018, 12:10 CET, Mise à jour 2 févr. 2018, 15:12 CET

Un technicien se sert d'un radar à pénétration de sol (RPS) à la recherche de vides derrière les murs de la chambre funéraire de Toutânkhamon. La nouvelle étude est menée par les spécialistes de l'université polytechnique de Turin.
PHOTOGRAPHIE DE Kenneth Garrett, National GeographicScientifiques et fonctionnaires égyptiens observent l'étude menée dans le tombeau de Toutânkhamon, le 1er février 2018.
PHOTOGRAPHIE DE Kenneth Garrett, National GeographicLe sarcophage de Toutânkhamon prend quasiment tout l'espace de la chambre funéraire, ce qui est inhabituel pour des chambres funéraires consacrées aux pharaons.
PHOTOGRAPHIE DE Kenneth Garrett, National GeographicLes techniciens positionnent l'antenne du radar tout près du mur du tombeau de Toutânkhamon. Si une chambre funéraire secrète existe, l'une des théories en cours voudrait qu'elle soit celle de Néfertiti, belle-mère de Toutânkhamon.
PHOTOGRAPHIE DE Kenneth Garrett, National GeographicLe professeur Mamdouh El Damaty examine le mur nord du tombeau pendant le troisième test radar.
PHOTOGRAPHIE DE Kenneth Garrett, National GeographicLes différences de techniques d'exécution des peintures sur le mur nord du tombeau soulignent une modification de la chambre funéraire.
PHOTOGRAPHIE DE Kenneth Garrett, National GeographicSur une section du mur nord, une peinture a été appliquée sur de la pierre nue sur la partie haute, tandis que la partie basse a été réalisée sur une sorte d'enduis.
PHOTOGRAPHIE DE Kenneth Garrett, National GeographicLa momie du pharaon Toutânkhamon exposée à l'entrée de son tombeau.
PHOTOGRAPHIE DE Kenneth Garrett, National GeographicDes ouvriers se réunissent à l'extérieur du tombeau de Toutânkhamon. L'étude est conduite la nuit, lorsque les touristes ont quitté la Vallée des rois et le tombeau.
PHOTOGRAPHIE DE Kenneth Garrett, National Geographic