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Chez les Mayas, l'inhalation de tabac était plus fréquente que la consommation liquide, comme le montre cette figure de fumeur peinte sur un récipient maya datant du septième ou du huitième siècle à Tikal, au Guatemala.

Chez les Mayas, l'inhalation de tabac était plus fréquente que la consommation liquide, comme le montre cette figure de fumeur peinte sur un récipient maya datant du septième ou du huitième siècle à Tikal, au Guatemala.

Emiliano Zapata devant ses quartiers, coiffé de son emblématique sombrero (1911).

Impression au bloc de bois contemporaine représentant Zapata et le slogan « Terre et Liberté » associé à son combat en faveur des paysans et contre les grands propriétaires terriens.

Cette photographie du cadavre de Zapata fut prise à Cuautla par le photographe José Mora qui ajouta vraisemblablement le lettrage blanc sur l’image. Les autorités militaires, qui avaient commandité l’assassinat de Zapata, demandèrent à José Mora de prendre la photo afin de dissiper les doutes quant à la mort de Zapata. Bien que la date montrée soit le 10 avril, jour de la mort de Zapata, l’image ne parut pas dans la presse avant le 12 avril. Les autres personnes de la photo n’ont pas été identifiées.

La statue de Pancho Villa, à Zacatecas, commémore la victoire décisive de l’armée villiste face aux troupes du président Huerta en 1914.

Sur cette photographie prise par Agustín V. Casasola vers 1914, Zapata est assis au centre. À sa droite est assis son frère, Eufemio, assassiné en 1917.

Emiliano Zapata devant ses quartiers, coiffé de son emblématique sombrero (1911).

Détail d’une carte du 16e siècle de la ville italienne de Civitavecchia hébergée dans la galerie des cartes géographiques des Musées du Vatican qui montre le transport d’un obélisque par bateau. Il s’agit d’un des deux obélisques pris en Égypte par l’empereur Auguste en l’an 10 avant notre ère. Désormais connu sous le nom d’obélisque du Montecitorio, il fut d’abord ré-érigé en tant que gnomon d’un cadran solaire géant sur le Champ de Mars, à Rome.

Ce dessin d’Émile Prisse, réalisé en 1878, montre le piédestal ainsi que deux côtés d’un obélisque érigé par Ramsès II à Louxor. De nos jours, il se trouve place de la Concorde, à Paris.