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Page du photographe
Anand Varma
La tête poilue de l’abeille est nettement définie grâce à la technique du focus stacking, qui consiste à combiner des photos similaires avec des plans focaux différents afin d’obtenir une plus grande profondeur de champ.
ÉTATS-UNIS, 2016 - Des scientifiques ont utilisé une fine brume créée par des brumisateurs à ultrasons afin de visualiser les flux d’air autour d’un colibri d’Anna (Calypte anna) en plein vol. À la fin de chaque demi-battement, ses ailes se retournent à plus de 90 degrés et reviennent en arrière. Les colibris sont les seuls oiseaux à pouvoir réellement voler en arrière.
Un champignon du genre Ophiocordyceps jaillit du cadavre de son hôte, une fourmi.
Une ouvrière mellifère de l’espèce Apis mellifera butine une fleur d’amandier. Les scientifiques se servent des abeilles mellifères pour mesurer la quantité de microplastiques dans l’air.
Larves d'abeilles (nom scientifique : Apis mellifera). Photographié à Harry Laidlaw Honeybee Research Facility, Davis, Californie.
Ces graines de maïs ont été enrobées de clothianidine, un pesticide de la famille des néonicotinoïdes. Ces substances liées au déclin des populations d'insectes ont également été détectés chez des animaux plus grands, comme les cerfs ou les oiseaux.
Un chrotoptère oreillard revient avec le dîner dans son abri, sur le site archéologique d’Hormiguero. Les chauves-souris peuvent rapporter de la nourriture à d’autres membres du groupe, comme des femelles avec des petits.
Un colibri d'Anna secoue son corps sous la pluie. Université de Californie, Berkley, États-Unis.
Laisser s'échapper les colibris dans des tunnels aérodynamiques permet aux chercheurs d'analyser les mécanismes de vol à des vitesses allant jusqu'à 57 km/h. À l'université de Californie située à Riverside, ce colibri à gorge noire prend part à une expérience qui vise à déterminer si les parades d'accouplement aériennes représentent de manière fiable les capacités physiques d'un oiseau. Les oiseaux mâles dont les plongées pour impressionner les femelles sont les plus acrobatiques sont-ils également ceux qui volent le plus vite ? Pour cette photo, une brume faite de vapeur d'eau a été disséminée afin de rendre visible le mouvement du vent. (Sources : Sean Wilcox et Christopher Clark)
Les colibris affrontent souvent les averses afin de recueillir le nectar qui leur est vital pour ne pas mourir de faim. Ce colibri d'Anna se secoue les ailes comme le ferait un chien mouillé, un mouvement d'oscillation parcourant sa tête et son corps. Selon des chercheurs de l'université de Californie à Berkeley, chaque torsion dure quatre centièmes de seconde. La tête de l'oiseau est ainsi soumise à une force de gravité démultipliée par 34. (Sources : Victor Ortega-Jimenez et Robert Dudley)