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Page du photographe
Luisa Dörr
Cette photo ancienne montre les premiers habitants du village fondé par María Senhorinha de Lima (au premier plan, troisième en partant de la droite).
Des mères de famille du village se sont réunies à l’ombre d’un arbre avec leurs enfants. Venir en aide les uns aux autres pour élever les enfants fait partie de la culture de la communauté de Noiva do Cordeiro.
Bruna Oliveira Fernandes est l’une des quelque 350 personnes vivant à Noiva do Cordeiro, un village des montagnes du sud-est du Brésil fondé à la fin du XIXe siècle. Elle aime jouer avec des poules, auxquelles elle donne souvent des petits noms.
Le village de l'harmonie
Deysi Tacuri López, 28 ans, veut contribuer à populariser son sport et à aider les jeunes Boliviennes à mieux connaître leurs racines : « Je suis fière de porter les polleras. »
Au marché La Cancha, plusieurs membres d’ImillaSkate viennent chercher des tenues traditionnelles.
Elinor Buitrago Méndez, 25 ans, se laisse flotter, vêtue d’une jupe traditionnelle. L’origine de la mode de la pollera en Bolivie remonte à la conquête espagnole, au XVIe siècle.
Huara Medina, 25 ans, pratique le skateboard avec un groupe de femmes qui organise des spectacles pour promouvoir l’identité des autochtones en Bolivie. Elle pose ici avec les tresses en l’air. Dans le pays, la coiffure est un symbole de fierté et d’émancipation.
Transcender la tradition
Marco Antonio Fernandes Emediato (à gauche) ajuste le nœud papillon de son compagnon, Alexander Stefano Moreira Morais, à Noiva do Cordiero, au Brésil. Dans un pays qui présente l’un des taux les plus inquiétants au monde de violences contre les personnes LGBTQ+, cette communauté est un refuge. « Je sais qu’être homosexuel n’est pas simple… Mais ici, l’homosexualité est naturelle, car on ne manque de rien là où il y a de l’amour », confie Marco.