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Page du photographe
Mark Leong
Des loris lents confisqués sur un marché de Bangkok, en Thaïlande, sont présentés comme preuves dans un poste de police.
Une enquête réalisée en parallèle de la fermeture progressive des exploitations ursicoles au Vietnam montre que la plupart des consommateurs de bile d’ours sont « indifférents » à la disparition de ce médicament traditionnel.
De la bile est prélevée dans la vésicule biliaire d'un ours noir d'Asie sous sédatif. Selon l'organisation Animals Asia, les maladies sont fréquentes dans ces exploitations et la bile extraite d'animaux malades peut être contaminée par du sang, des excréments, du pus, de l'urine ou des bactéries qui pourraient s'avérer dangereuses pour la santé humaine.
Un ours asiatique mis sous sédatif est étendu sur le plancher tandis qu’il se fait pomper de la bile de sa vésicule biliaire. Les fermes commerciales d’ours ont été mises en place en Chine et au Vietnam avec l’intention de réduire le stress sur les ours sauvages, une décision qui n’a pas porté ses fruits. La demande de bile d’ours, de même que la destruction de l’habitat, sont les principales menaces des populations d’ours asiatiques.