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Page du photographe
Karine Aigner
Un chiot femelle repose sur la jambe d’une femme. De nouvelles recherches suggèrent que certaines personnes sous-estiment les responsabilités liées à l'accueil d’un chiot.
« Combat dans un marécage »
Des œstres posés sur la tête d’un anaconda vert du nord dans le parc national Yasuni, en Équateur. Une nouvelle étude a récemment révélé que l’anaconda vert comprenait en réalité deux espèces différentes, plus diversifiées sur le plan génétique que l’homme et le chimpanzé.
La chasse et la perte d'habitat ont réduit les populations d'ocelots à quelques centaines d'individus dans le sud du Texas. Les scientifiques espèrent cependant piéger des petits félins comme Javier (photographié ici), et ce afin de les élever en captivité. « Lorsque les gens apprennent l'existence de ces félins, ils sont généralement enthousiasmés par leur présence », révèle un défenseur de l'espèce. « Nous leur devons de nous battre pour leur survie. »
Une cage contenant un sporophile négrito est suspendue le long d'une route, afin que l'oiseau s'habitue au bruit ambiant de la vie de la rue et soit donc moins susceptible d'être distrait pendant les concours de chant. « Les images permettent de rendre certaines choses réelles », déclare Karine Aigner au sujet de ses clichés d’oiseaux chanteurs captifs à Cuba, qui lui ont valu le Photojournalist Story Award. Avec cette mission, Karine Aigner dit qu'elle voulait faire réfléchir sur la façon dont nous exploitons les animaux sauvages pour nos désirs et nos envies.
Une boule d'abeilles cactus tourne sur le sable chaud. Après quelques minutes, le couple au centre de la boule, un mâle s'accrochant à la seule femelle de la mêlée, s'envole pour s'accoupler.
Après avoir mesuré la température corporelle et le poids des coyotes, les juges coupent l’ongle d’une patte arrière pour s’assurer que personne ne puisse inscrire deux fois le même animal. Les participants reçoivent 80 dollars (environ 75 euros) pour chaque coyote inscrit.
Les collectionneurs d’os sur internet sont prêts à payer quelques dollars pour un crâne de coyote. Clark dit qu’il aime dépecer les coyotes car « cela permet d’utiliser quelque chose qui aurait sinon été gaspillé ».
Dan Clark, professeur de collège à la retraite, ramasse les carcasses de coyotes indésirables lors de la chasse du comté de Sullivan, et les ramène chez lui pour les dépecer. Trappeur pour fourrure de longue date, il vend les peaux jusqu’à 25 dollars pièce, soit un peu moins de 25 euros.
Ce coyote, photographié par une caméra à distance, souffre de la gale, une maladie de la peau causée par des mites. De nombreux chasseurs affirment que le contrôle du nombre de coyotes permet d’enrayer la propagation de la gale mais, selon les scientifiques, la maladie n’est probablement pas déterminée par la taille de la population.