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Page du photographe
Karine Aigner
Une cage contenant un sporophile négrito est suspendue le long d'une route, afin que l'oiseau s'habitue au bruit ambiant de la vie de la rue et soit donc moins susceptible d'être distrait pendant les concours de chant. « Les images permettent de rendre certaines choses réelles », déclare Karine Aigner au sujet de ses clichés d’oiseaux chanteurs captifs à Cuba, qui lui ont valu le Photojournalist Story Award. Avec cette mission, Karine Aigner dit qu'elle voulait faire réfléchir sur la façon dont nous exploitons les animaux sauvages pour nos désirs et nos envies.
Une boule d'abeilles cactus tourne sur le sable chaud. Après quelques minutes, le couple au centre de la boule, un mâle s'accrochant à la seule femelle de la mêlée, s'envole pour s'accoupler.
Après avoir mesuré la température corporelle et le poids des coyotes, les juges coupent l’ongle d’une patte arrière pour s’assurer que personne ne puisse inscrire deux fois le même animal. Les participants reçoivent 80 dollars (environ 75 euros) pour chaque coyote inscrit.
Les collectionneurs d’os sur internet sont prêts à payer quelques dollars pour un crâne de coyote. Clark dit qu’il aime dépecer les coyotes car « cela permet d’utiliser quelque chose qui aurait sinon été gaspillé ».
Dan Clark, professeur de collège à la retraite, ramasse les carcasses de coyotes indésirables lors de la chasse du comté de Sullivan, et les ramène chez lui pour les dépecer. Trappeur pour fourrure de longue date, il vend les peaux jusqu’à 25 dollars pièce, soit un peu moins de 25 euros.
Ce coyote, photographié par une caméra à distance, souffre de la gale, une maladie de la peau causée par des mites. De nombreux chasseurs affirment que le contrôle du nombre de coyotes permet d’enrayer la propagation de la gale mais, selon les scientifiques, la maladie n’est probablement pas déterminée par la taille de la population.
Les prix de la compétition comprennent des fusils, des munitions, des dispositifs électroniques d’appel pour attirer les prédateurs, un chapeau en fourrure de coyote et de l’alcool. Cette année, chacun des 400 participants a payé 35 dollars (un peu plus de 30 euros) pour s’inscrire au concours et a reçu un ticket de tombola de 5 dollars (un peu moins de 5 euros) pour avoir une chance de gagner un prix, dont le gagnant sera annoncé le dimanche lors du banquet de remise des prix.
Lorsque les concurrents apportent leurs coyotes au quartier général de la compétition, la caserne de pompiers de Sulphur Springs, les animaux sont suspendus et pesés sur une balance numérique. Le règlement stipule que la température de leur corps doit se situer entre entre 20 et 38 degrés afin de confirmer qu’ils ont bien été fraîchement tués.
Timothy Kautz, shérif adjoint dans le comté de Sullivan, reste assis pendant des heures dans un affût de chasse chauffé, attendant qu’un coyote s’approche de son appât. Kautz participe régulièrement à cette chasse depuis sa création il y a 14 ans.
Un participant a placé une carcasse de cerf sur une piste pour véhicules tout-terrain enneigée, à environ 140 mètres d’un affût de chasse, afin d’attirer les coyotes nécrophages. D’autres chasseurs utilisent des lunettes de tir à vision nocturne spéciales, des dispositifs d’appel électroniques et des chiens de chasse.