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Page du photographe
Marek Miś
Image amplifiée au microscope d’un cilié, microbe unicellulaire, nageant près d’une mousse du genre Sphagnum. Un cilié du genre Halteria peut survivre et prospérer en se nourrissant exclusivement de virus, un phénomène qui n’avait jamais été observé.
Cette image kaléidoscopique du photographe polonais Marek Miś représente une femelle Daphnia magna enceinte, un petit crustacé aquatique.
L'intérieur d'une feuille est rempli d'un tissu spongieux, le mésophylle, lui même plein de chloroplastes (visibles sur la photo). C'est dans ce tissu que la magie des plantes opère : en réagissant avec le CO2, la lumière du soleil et l'eau, elles obtiennent sucres et oxygène.
Sous la lumière polarisée, ces tissus d'épinard dévoilent leur réseau de plomberie interne.
La section transversale d'une lavatère d'un trimestre (Lavatera trimestris) révèle la structure interne de cette dernière.
Plus de 215 familles de plantes fabriquent des cristaux d'oxalate de calcium. Certains cristaux, à l'instar de celui-ci qui se trouve dans une feuille d'épinard (Spinacia oleracea), prennent la forme de boules épineuses, appelées oursins, défendent la plante des herbivores qui souhaiteraient la manger en les irritant.
Épineuse et bilobé avec soin, cette espèce d'algues, Xanthidium antilopaeum, s'accorderait parfaitement avec la maison de Frank Lloyd Wright. Cette espèce a été décrite par les scientifiques pour la première fois en 1849.
Le périphyton regroupe des bactéries, des algues et d'autres créatures minuscules qui s'accumulent sur les sédiments aquatiques. Parmi ses habitants, on retrouve des créatures unicellulaires appelées héliozoaires (à gauche) et des diatomées photosynthétiques (à droite).
Sous la lumière polarisée, l'algue unicellulaire Netrium scintille, posée sur une feuille de sphaigne.
De nombreuses cellules de Micrasterias truncata, une algue verte unicellulaire, dérivent non loin de feuilles de sphaigne. Décrite scientifiquement pour la première fois en 1848, cette espèce d'algue d'eau douce a été nommée ainsi en raison de son apparence : elle semble en effet coupée en deux.