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Page du photographe
Matthew Abbott
Un drone photographie des dromadaires fuyant les tirs de Jack Carmody. L’éleveur en tue des centaines chaque année, conservant souvent la viande pour sa famille.
Les dromadaires, tels ceux débarqués ici à Port Augusta, en Australie, vers 1893, aidaient les colons britanniques à explorer le pays et à bâtir des réseaux ferrés.
Jack Carmody, ici avec sa fille Verety, consulte sur son téléphone la télésurveillance des points d’eau de son ranch. Si les dromadaires peuvent survivre sans eau durant des semaines, quand la sécheresse augmente, ils cherchent de nouveaux endroits où boire.
Les dromadaires ont envahi le pays. Cette femelle fournit du lait à l’entreprise de cosmétiques DromeDairy, près de Perth. Cette initiative fait partie des efforts menés pour tirer parti de ces animaux.
L'Australie débordée par ses dromadaires
Ce village situé sur la pittoresque presqu’île Tasman a été abandonné en 1877. Il abrite un ancien centre pénitencier, une chapelle, une tour de guet ainsi que les fosses communes dans lesquelles sont enterrés d’anciens criminels, rappel du sombre passé du pays, qui servait de colonie pénitentiaire de l’empire Britannique.
Sous la fumée d’un brûlage, des enfants harponnent un poisson. Le contrôle des incendies et la réduction des fumées rejetées dans l’atmosphère permettent aux Aborigènes de vendre des crédits carbone et de financer l’emploi des gardes et la construction d’écoles.
Après avoir mis le feu à l’écorce de quelques arbres, Stacey Lee chasse les serpents à la lueur des flammes, tandis qu’Evelyn Narorrga, armée d’une lampe torche, en porte un enroulé autour de sa main droite. Ces serpents inoffensifs seront mangés.
Un sentier dégagé entoure un bosquet isolé d’anbiniks, dans la savane. Les incendies ont détruit beaucoup de ces arbres imposants, chers aux Aborigènes.
Un hélicoptère guidé par Terrah Guymala, un garde warddeken, jette des engins incendiaires qui réagissent chimiquement en douceur, avant de s’enflammer au sol.