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NASA
Alors que l'on pensait que Fomalhaut b était une planète, les chercheurs pensent aujourd'hui qu'il s'agit d'un nuage de poussière issu d'une collision entre deux objets protoplanétaires de 200 kilomètres de large. Le « grand nuage de poussière » récemment découvert pourrait être le résultat d'une telle collision, mais entre deux objets beaucoup plus grands. Selon une autre théorie, il s'agirait d'une « galaxie d'arrière-plan qui nous jouerait des tours, et qui se situerait juste derrière l'anneau extérieur. Une observation complémentaire devrait nous aider à trancher », écrit András Gáspár, de l’Université de l'Arizona à Tucson et auteur principal du nouvel article.
Ce que l'on pensait être une exoplanète massive, Fomalhaut b (dans l'encadré), a été capturé en lumière visible par le télescope spatial Hubble, en 2008. Le JWST ne l'a cependant pas détectée dans l'infrarouge moyen ; il s'agissait donc probablement d'un nuage de poussière provenant d'une collision entre deux mini-planètes.
Fomalhaut est bien plus chaude que notre Soleil, et environ quinze fois plus brillante. Située à 25 années-lumière de la Terre, elle brûle de l'hydrogène à un rythme si effréné qu'elle s'éteindra dans un milliard d'années seulement, soit environ 10 % de la durée de vie de notre étoile.
Trois ceintures de débris poussiéreux imbriqués s'étendent à 22,5 milliards de kilomètres de la jeune étoile Fomalhaut. Il est probable que les ceintures intérieures soit le fruit des forces gravitationnelles de planètes que nous ne pouvons pas voir, comme le montre cette image prise par le télescope spatial James Webb, qui cache la lumière de l'étoile pour révéler la matière environnante.
Durant sa mission record de 328 jours à bord de la Station spatiale Internationale de mars 2019 à février 2020, Christina Koch, spécialiste de mission d’Artemis II, a contribué à des centaines d’expériences scientifiques en apesanteur.
Victor Glover, pilote d’Artemis II, a passé 168 jours en orbite durant sa mission à bord de la Station spatiale internationale de novembre 2020 à mai 2021, et a réalisé quatre sorties extravéhiculaires.
En août, avant le lancement d’Artemis I, vol d’essai non habité du Space Launch System et de la capsule Orion, des astronautes et des candidats astronautes des États-Unis et du Canada se sont rassemblés devant la rampe de lancement. Contrairement à Apollo, Artemis embarquera des astronautes non américains.
En 2014, durant sa mission à bord de la Station spatiale internationale, Reid Wiseman, commandant d’Artemis II, a enregistré près de treize heures de sorties extravéhiculaires.
Simulation représentant le volcan Maat Mons, qui se situe sur la surface de Vénus, créée à partir de données prises par la sonde spatiale Magellan de la NASA.
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