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NASA
La surface de la Lune est parsemée de gouffres et de dômes comme ceux des collines Marius (représentées dans les trois images ci-dessus sous différentes expositions au Soleil). Les températures à l'intérieur de ces gouffres, qui pourraient mener à des grottes souterraines, sont plus stables qu'à la surface.
La sonde Lunar Reconnaissance Orbiter de la NASA (représentée ici avec la Terre en arrière-plan) a détecté la première preuve directe de l'existence d'un tunnel de lave sous une mer lunaire connue sous le nom de mer de la Tranquillité, ou Mare Tranquillitatis.
Dans le cadre de la « Twins Study », une importante étude menée par la NASA sur des jumeaux, Scott Kelly (à droite) a passé un an à bord de la Station spatiale internationale tandis que son frère jumeau Mark Kelly (à gauche), également astronaute, est resté sur Terre. L'étude a permis de documenter les conséquences génétiques, physiologiques et cognitives d'un séjour dans l'espace.
Le télescope spatial Hubble a pris cet aperçu instantané de centaines de milliers d’étoiles se déplaçant dans le Grand Amas d’Hercule (Messier 13), l’un des amas globulaires les plus brillants et les plus célèbres du ciel septentrional. S’il s’avère que des civilisations extraterrestres existent, il est, selon les spécialistes, peu probable qu’elles se tapissent dans l’ombre ainsi que le suggère la théorie de la forêt sombre.
Se pourrait-il qu’une civilisation extraterrestre avancée se cache près de NGC 604, nébuleuse du Triangle immortalisée ici par le télescope spatial James-Webb ? Depuis longtemps, les astronomes se demandent pourquoi nous n’avons pas encore rencontré de civilisations extraterrestres alors que l’humanité est jeune et que l’Univers est ancien : une énigme qu’on appelle paradoxe de Fermi.
Sur cette image capturée par le télescope spatial Hubble, l'astéroïde Dimorphos est entouré d'une multitude de fragments (points encerclés) détachés par l'impact de la mission DART lancée par la NASA.
Les télescopes spatiaux Spitzer, Hubble et Chandra de la NASA ont uni leurs forces pour créer cette image composite de la galaxie M82, vue en différentes longueurs d'onde. Les couleurs ne correspondent pas à la réalité.
Le géoscientifique et musicien Hirota Nagai a traduit les données climatiques recueillies sur des sites de recherche de l'Arctique et de l'Antarctique, visibles sur cette photographie composite de la Terre capturée lors de la mission lunaire Apollo 17.
Ces images composites révélant l'activité volcanique sur Io ont été générées à l'aide de données collectées en lumière visible et en infrarouge par la sonde Juno de la NASA lors de ses survols de la lune jovienne, le 14 décembre 2022 (à gauche) et le 1er mars 2023. Dans les deux images, l'arrière-plan (en gris et marron) est fourni par la caméra JunoCam, alors que les taches rouges, jaunes et blanches sont issues des données de l'instrument JIRAM (Jupiter Infrared Aural Mapper), un spectromètre infrarouge. Les images augmentées comme celles-ci peuvent aider l'équipe scientifique de la mission Juno dans la cartographie et le suivi des volcans actifs à la surface de la lune.
Le 15 octobre 2023, la caméra JunoCam embarquée par la sonde spatiale Juno de la NASA a capturé cette image dévoilant le pôle Nord de la lune jovienne Io. Puisque les hautes latitudes de l'objet avaient globalement échappé aux missions Voyager et Galileo, trois des sommets visibles ci-dessus ont alors été observés pour la première fois. Ces montagnes apparaissent dans la partie supérieure de l'image, à proximité du terminateur, la ligne qui sépare le jour de la nuit.