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Page du photographe
Nora Lorek
Les restes du squelette de la guerrière de Birka sont visibles ici tels qu’ils ont été découverts.
Une mère s’allonge avec ses deux bébés pour une sieste. Le toucher et l’affection sont des moyens infaillibles de libérer de l’ocytocine, une hormone qui déclenche une sensation de bien-être, améliore les interactions sociales et motive à trouver et à développer des liens plus profonds.
Lorsque la guerre a éclaté au Soudan du Sud, des centaines de milliers de civils ont fui en Ouganda, emportant leurs effets personnels dans des draps. La photographe Nora Lorek a tiré le portrait de familles de réfugiés, avec comme toile de fond, leurs draps. Une sélection de ses clichés a été publiée dans le numéro de mai 2018 du magazine National Geographic.
Susan Meneno tient dans ses bras sa petite fille d'un an devant le champ de tournesols de sa famille dans le camp de réfugiés de Bidibidi en Ouganda. Aucun membre de sa famille n'a d'emploi mais certains gagnent un peu d'argent grâce aux récoltes et elle rêve d'ouvrir un jour sa propre entreprise de textile.
Knight Mai (à gauche) et Florence Stima (à droite), toutes deux Soudanaises du Sud, travaillent dans un salon de coiffure du camp de réfugiés Bidibidi en Ouganda. Chacune gagne moins de cinq dollars par semaine. Ce type de petite entreprise est venu combler les besoins du marché mais seule une poignée d'entreprises privées a su tirer profit de la main d'œuvre potentielle que représente le camp.
La majorité des résidents du camp de réfugiés de Bidibidi sont des enfants et la plupart d'entre eux travaillent pour aider leurs familles. Dans une petite échoppe installée à proximité de son habitation dans la Zone 5, le jeune Steven Ladu (13 ans) vend des friandises.
Au Soudan du Sud, Rose Asha Sillah, ici photographiée avec sa fille, a contribué à la création d'une compagnie forestière qui s'est progressivement transformée en une entreprise de 35 employés. Dans le camp de réfugiés de Bidibidi en Ouganda, elle a fondé un centre qui forme environ 400 femmes à des métiers comme la broderie ou l'agriculture. Sans institutions financières, même les entrepreneurs les plus créatifs ont du mal à se développer mais Sillah reste convaincue que cette initiative en vaut la chandelle. « Va-t-on passer dix ans à pleurer pour le Soudan du Sud ? » demande-t-elle. « Nous devons aller de l'avant. »
Un DJ diffuse de la musique du haut d’un camion. Des festivals, des défilés de mode et même un concours de beauté ont déjà eu lieu à Bidi Bidi. « Au début, il n’y avait pas une route, pas une école, pas un puits », rappelle le superviseur du camp Robert Baryamwesiga. Il imagine une ville de premier plan émergeant de la forêt. « Je dis qu’il n’y a pas de limite. ».