Magazines
Newsletter
Télévision
Disney+
National Geographic
National Geographic
National Geographic
Histoire
Animaux
Sciences
Environnement
Voyage® & Aventure
Histoire
Animaux
Sciences
Environnement
Voyage® & Aventure
Page du photographe
Nichole Sobecki
Une place de marché animée dans le camp de réfugiés de Dadaab.
Vue sur le camp de réfugiés de Dadaab, l'un des plus grands du monde. Il a été créé en 1991 lorsque des réfugiés fuyant la guerre civile en Somalie ont commencé à franchir la frontière du Kenya. Il abrite actuellement environ 220 000 personnes, selon le HCR, l’Agence des Nations unies pour les réfugiés.
Les casques portés par Creasman et Schneider sont mis à sécher au soleil après une journée de plongée dans des sites funéraires royaux.
L'archéologue Gretchen Emma Zoeller fouille le site funéraire d'une femme adulte à Nouri, une ancienne nécropole qui s'étend sur plus de 70 hectares de désert près de la rive est du Nil, dans le nord du Soudan.
Des ouvriers dégagent les décombres de la pyramide vieille de 2 300 ans qui marque la tombe de Nastasen, qui régna sur Koush pendant environ deux décennies et qui fut le dernier roi enterré sur le site de Nouri.
Creasman utilise des techniques innovantes d'archéologie sous-marine pour sauver des pans de l'histoire de Nouri qui, autrement, auraient été perdus lorsque les eaux du Nil submergèrent certaines parties de la nécropole.
Le Soleil perce l'horizon dans cette vue du cimetière royal de Nouri. Sa caractéristique la plus marquante est un arc de près de vingt pyramides qui semblent reliées les unes aux autres comme des pierres précieuses sur un collier.
L'archéologue Pearce Paul Creasman se prépare à entrer dans une tombe inondée de la nécropole de Nouri, au Soudan.
Un réfugié ougandais non binaire pose devant la maison sécurisée qu’iel a fondé pour les réfugiés LGBT à Nairobi, au Kenya. Ce portrait, publié pour la première fois, a été pris par la photographe Nichole Sobecki dans le cadre d’un projet sur le coronavirus et ses répercussions sur le Kenya en 2020.
Au pied du djebel Barkal, montagne sacrée pour les Soudanais et leurs ancêtres, inscrite sur la liste du patrimoine mondial, des ouvriers creusent pour mettre au jour l’une des plus grandes civilisations d’Afrique. Appelé Koush ou Nubie, ce royaume a longtemps été vu comme une simple dépendance de l’Égypte voisine.