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Page du photographe
Stephen Álvarez
Le champignon du syndrome du nez blanc, qui a tué des millions de chauves-souris en Amérique du Nord, ici dans une culture de laboratoire.
Ce sikafa de Decken est photographié au milieu des éperons de roche calcaire des grands Tsingy de Madagascar. Cette image a été prise pour un article du numéro de novembre 2009 sur le labyrinthe de pierre.
Un grimpeur serpente le long des formations calcaires de la réserve naturelle du Tsingy de Bemaraha, à Madagascar. Ce cliché a été pris pour un article paru en novembre 2009 dans le magazine National Geographic. En malgache, ces formations sont appelées « tsingy », terme qui se traduit par « là où personne ne peut marcher pieds nus » en français.
Cette modélisation générée à partir de près de 4 000 photographies montre le plafond gravé de la 19e Grotte sans nom. L’emplacement des glyphes de boue est identifié par leur silhouette. « Il y a des milliers et des milliers de gravures », affirme le chercheur et photographe Stephen Álvarez.
Un article paru dans le numéro de septembre 2006 mettait en avant une équipe de 12 explorateurs et exploratrices documentant des grottes fluviales en Nouvelle-Bretagne, une île au large de la Papouasie-Nouvelle-Guinée. Ici, l'un des explorateurs tente de traverser la cascade d'Ora, d’où une rivière souterraine jaillit.
La Great Gallery au Horseshoe Canyon renferme des peintures rupestres détaillées de silhouettes humaines esquissées par les Anasazis entre 2000 av. J.-C. et 500 apr. J.-C.
"Il y a des cascades plus grandes et plus puissantes en Islande, mais j'ai toujours trouvé que les chutes de Skogafoss étaient les plus jolies", raconte le photographe National Geographic, Stephen Alvarez. "Cette cascade est aussi l'une des plus visitées. Tard, une nuit, au printemps dernier, j’ai réussi à m'y retrouver seul après le départ de la foule."
Mammoth Cave est immense, c'est d'ailleurs le plus long réseau de grottes au monde, mais les spéléologues qui s'y aventurent doivent tout de même être préparés aux nombreux passages étroits bien connus des experts du milieu. S'étalant sous le centre du Kentucky, la structure en nid d'abeille de cette grotte a été explorée sur plus de 580 km mais les experts pensent que sa taille réelle pourrait dépasser les 1 600 km.
Telles les araignées sur leur toile, ces spéléologues entament la descente vertigineuse du gouffre des Hirondelles, un puits mexicain d'une profondeur de 366 mètres qui pourrait aisément accueillir la tour Eiffel. Ce gouffre à ciel ouvert est si impressionnant qu'il attire de nombreux adeptes des sports extrêmes, y-compris des base jumpers. Les animaux y ont élu domicile depuis fort longtemps et la grotte tire son nom des oiseaux qui installent leurs nids sur ses parois verticales.
Un spéléologue examine des organismes unicellulaires appelés snotites qui produisent une étrange substance visqueuse à l'acidité proche de l'acide des batteries. À Tabasco au Mexique, dans la grotte de Villa Luz, ces bactéries oxydent les composés de soufre qui pénètrent dans la cave en provenance des sources souterraines. Le soufre est la base de la quasi-totalité des formes de vie dans cet environnement toxique pour l'Homme où les spéléologues doivent en permanence porter des respirateurs pour se protéger des vapeurs sulfureuses.