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Jimmy Chin
ÉTATS-UNIS, 2017 - La vallée californienne de Yosemite étendue sous ses pieds, Alex Honnold pratique l’escalade en solo intégral sur la face sud-ouest d’El Capitan, perché à plus de 900 mètres. Il grimpe sans corde ni équipement de sécurité. Avant d’accomplir cette prouesse le 3 juin 2017, M. Honnold a passé plus de 10 ans à réfléchir à cette escalade et plus d’un an et demi à la préparer et à s’y entraîner.
Nelson escalade le mont Tyree, le deuxième plus haut sommet de l'Antarctique, dans la neige épaisse, lors d'une expédition en 2020 avec Morrison, Conrad Anker et Jimmy Chin. L'équipe a d'abord atteint le sommet du mont Vinson, la plus haute montagne du continent, mais a été contrecarrée dans sa tentative d'atteindre le sommet du Tyree, et de le redescendre en ski.
Hilaree Nelson était l'une des ski-alpinistes les plus accomplies au monde. En plus de quarante expéditions, elle a laissé un impressionnant record de premières descentes pour les femmes de son domaine. « Nous pouvons nous lancer avec autant de force que les hommes », affirmait-elle.
Pendant le tournage de « Free Solo » qui a remporté l’oscar du meilleur documentaire, Jimmy Chin a également capturé des moments intimes comme celui-ci. On voit l’alpiniste Alex Honnold prendre des notes avant l’ascension d’El Capitan.
Jimmy Chin , réalisateur et aventurier, escalade la paroi Pacific Ocean Wall d’El Capitan, au cœur du parc national de Yosemite.
« Meru », le documentaire réalisé par Jimmy Chin retrace l’ascension de Chin et de son équipe vers le sommet emblématique Meru en Inde. Sur cette photo, on voit Conrad Anker, un alpiniste qui fait partie du premier groupe à avoir escaladé les 1 400 mètres du Shark’s Fin.
Surplombant la vallée du Yosemite qui s'étale loin derrière lui, Alex Honnold escalade en free solo (sans corde ou autre équipement de sécurité) une fissure sur la face sud d'El Capitan dont la hauteur dépasse les 900 m. Avant de réaliser cette prouesse le 3 juin 2017, Honnold a passé près de dix ans à réfléchir à cette ascension et plus d'un an et demi à la planifier et à s'entraîner.
Honnold, 33 ans, écoute de la musique en se brossant les dents, à l’aube d’une journée d’escalade dans le Haut Atlas marocain, l’un des lieux à l’étranger où il s’est entraîné pour son ascension d’El Capitan.
Honnold inspecte ses mains après avoir terminé l'une de ses nombreuses séances d'entraînement sur El Capitan.
Après quatre heures d’ascension, Honnold pose avec son matériel d’escalade –soit ses chaussons et son sac de magnésie–, au sommet d’El Capitan. « En bas, j’étais un peu nerveux », avouera-t-il plus tard. Et pour la suite? « Je veux escalader d’autres faces difficiles. Un jour. On ne prend pas sa retraite parce qu’on est redescendu. »